Le festival est de retour à Québec du 13 au 15 ainsi que le 21 juin. Les festivaliers pourront une fois de plus aller à la rencontre des 11 Nations autochtones québécoises et s’imprégner de leurs riches cultures dans le cadre d’activités conviviales et variées pour toute la famille.
La réalité du métier de programmateur exige bien souvent de devoir se retourner sur un dix cennes, en bon français. Le FEQ s’en tire très bien en ce qui concerne ses annulations cette année, avec une annonce faite plus tôt aujourd’hui qui mentionne le remplacement de certaines têtes d’affiche par d’autres artistes tout aussi d’envergure.
Le festival continuera de prouver son engagement social et sa mission de soutien à la vérité et la réconciliation le 21 juin prochain pour la Journée Nationale des Peuples Autochtones avec un événement gratuit au Square Cabot du centre-ville de Montréal, endroit où les tensions entre les autorités municipales et les autochtones vivant dans la rue sont particulièrement fortes.
Pour sa 39e édition, le plus grand festival dévoué aux musiques d’ailleurs du Québec continue de prendre de l’ampleur avec une programmation diversifiée aux multiples volets. Au programme : six jours de programmation extérieure au Parterre du Quartier des spectacles et à l’Esplanade Tranquille de la Place des arts du 15 au 20 juillet, et une soixantaine de spectacles en salle entre le 8 et le 20 du même mois.
Hier soir, le mardi 3 mai 2025, le Quai des Brumes accueillait le spectacle le plus « Quai des Brumes » possible : un trio folk-world et un musicien bluegrass. Tu connais ta crowd ou tu la connais pas! C’est ledit trio qui tenait le haut de l’affiche, alors que les musiciens LiKouri, Charles Cantin et Isabelle Gaudreau venaient présenter en avant-première la musique d’un EP à paraître plus tard cette année.
Jeudi dernier, le 29 mai 2025, le groupe américain Florist était de passage à la Sala Rossa pour y présenter les chansons de Jellywish, son cinquième album en carrière paru en avril dernier. Si l’album est de loin l’un de mes favoris de cette année, le spectacle l’aura moins été. Retour, donc, sur une soirée pleine de contradictions.
Connus pour leurs mélodies accrocheuses et leurs performances énergiques, le groupe britannique de pop-rock The Kooks était au MTelus mardi soir pour nous servir un concert riche en émotion. Notre photographe Pierre Langlois s’y trouvait. Retour en photos sur l’événement.
C’est tout une soirée que nous a offert l’orchestre d’hommes-orchestres dans un théâtre Outremont chaleureux et très plein avec comme prétexte un concert placé sous la musique de Tom Waits. Mais c’est aussi un spectacle à saveur déjanté où la joyeuse troupe nous présente une mise en scène ébouriffante chargée de trouvailles toutes plus originales les unes que les autres, tant visuellement que musicalement.
Le programmateur nous parle autant d’artistes champ gauche comme Clown Core que de découvertes internationales comme Mohini Dey, Salin ou Salami Rose Joe Louie, ou encore d’ici comme Ariane Racicot, Malia Laura ou Julien Filion.
La chanteuse et compositrice canadienne de musique country Kalsey Kulyk vient tout juste d’offrir au monde ses deux nouveaux singles, You Fight Dirty et I May Hate Myself In the Morning. L’artiste était d’ailleurs de passage à Montréal le 24 février dernier dans le cadre d’un showcase afin de performer aux côtés du groupe canadien de musique country, James Barker Band. Sors-tu? en a profité pour discuter avec la chanteuse au cœur des studios de la salle de spectacle Le Ministère.
James Bay était de passage à Montréal dimanche dernier à l’occasion de son apparition à l’émission Star Académie. Le chanteur de renommée mondiale a offert une performance mémorable auprès des académiciens, interprétant quelques titres de son nouvel album Changes All The Time, une œuvre sincère et ambitieuse. Dans le cadre de sa tournée internationale Up All Night, l’artiste sera de retour à Montréal le 28 mai prochain au MTELUS.
L’artiste émergente québécoise Gawbé a dévoilé le 21 février dernier son tout premier album, l’endroit l’envers. Cet album résolument rock reflète les dualités du monde qui l’entoure. Porté par un esprit de camaraderie, ce projet audacieux, décontracté, chaleureux et percutant marque une nouvelle étape dans l’évolution artistique de Gawbé.