À défaut de pouvoir tenir une 41e édition comme d’habitude devant des dizaines de milliers de festivaliers au Quartier des spectacles, le Festival International de Jazz de Montréal, présenté par le Groupe Banque TD en collaboration avec Rio Tinto, annonçait mercredi qu’il tiendrait au moins une édition virtuelle, avec des concerts d’une impressionnante brochette d’artistes locaux captés sur la scène de l’Astral. À l’image de ce qu’on connaît du FIJM, il y aura des noms établis et des découvertes qui se succéderont. Et la clé de cette variété si chère au Festival, c’est le multiculturalisme.