Le Festival Petits bonheurs lancera dès demain, jeudi 2 mai 2024, sa 20e édition. L’événement surnommé « le rendez-vous culturel des tout-petits » propose aux jeunes familles des activités culturelles dans les arrondissements de Mercier—Hochelaga-Maisonneuve, Ville-Marie et Outremont, dont 16 spectacles échelonnés du 2 au 12 mai, mettant en vedette autant des troupes de cirque de France, d’Italie ou d’ici que des artistes musicaux comme Alaclair Ensemble en show de clôture!
Le Théâtre du Nouveau Monde dévoile une forte programmation pour sa saison 2024-2025 : Kukum de Michel Jean et La femme qui fuit d’Anaïs Barbeau-Lavalette, deux fabuleux romans ayant connu de grands succès au Québec et au-delà, sont notamment de la mêlée.
Pour certaines personnes, La Poune évoque une courtepointe de souvenirs marquants, une façon de reprendre son souffle en période d’après-guerre. Pour d’autres, rien du tout, sinon de vagues images d’une vieille dame rousse habillée en matelot. Le théâtre musical La Géante, qui sillonnera le Québec cet été, tentera de rassembler des publics de tous âges autour de cette femme à l’énorme héritage.
Le grand éphémère, c’est le festival proposé par REFRAIN (le Regroupement des festivals régionaux artistiques indépendants) du 22 au 24 mars au Vieux-Port de Montréal pour célébrer tous les festivals du regroupement. Sors-tu? s’est rendu à la soirée « découvertes » ce vendredi soir.
Comment recréer, devant un public, la relation entre une grand-mère au crépuscule de sa vie et sa petite-fille, jeune adulte qui attend de commencer la sienne? Comment ne pas tomber dans le pathos, le voyeurisme, l’autocentrisme? C’est là tout l’exercice d’équilibriste auquel se livre Camille Paré-Poirier dans Je viendrai moins souvent, une pièce présentée par Duceppe pour quelques soirs à la Cinquième Salle de la Place des Arts.
Avec sa pièce La vengeance et l’oubli, Olivier Kemeid nous propose une version modernisée d’Hamlet et nous invite à une profonde réflexion sur la relation père/fils. Sors-tu? s’est rendu à la représentation du mardi 23 avril.
Dans la pièce Royal, présentée au Théâtre Duceppe, Jean-Philippe Baril Guérard livre une adaptation de son roman à la fois troublante et percutante. On y retrouve une cohorte d’étudiants en droit déterminés à décrocher un stage dans un prestigieux cabinet, coûte que coûte.
Même si à première vue, l’écart générationnel frappe, en y pensant un peu, l’idée de Rires, en première hier soir au Théâtre Espace Libre, est géniale. Qui de plus approprié qu’une cohorte d’artistes à peine sorti.es des écoles de théâtre et d’humour pour passer au peigne fin des textes marquants du registre comique et se demander : a-t-on encore envie de rire?
Pour certaines personnes, La Poune évoque une courtepointe de souvenirs marquants, une façon de reprendre son souffle en période d’après-guerre. Pour d’autres, rien du tout, sinon de vagues images d’une vieille dame rousse habillée en matelot. Le théâtre musical La Géante, qui sillonnera le Québec cet été, tentera de rassembler des publics de tous âges autour de cette femme à l’énorme héritage.
La programmation reste fidèle à ce que le FTA a proposé dans les dernières années, mais se démarque aussi dans une nouvelle offre pour les festivaliers. Une édition qui se rapproche du projet original de la fondatrice Marie-Hélène Falcon, qui était sur place pour la cérémonie. Les deux coproductrices artistiques ont aussi mentionné que cette édition du festival était le début d’une vision, d’un projet pour les années à venir.
Projet de pandémie pour lequel seule une centaine de chanceux ont pu obtenir des billets en 2021 à La Chapelle, Face-à-face de Jérémie Niel est enfin présenté à tous à l’Agora de la danse du 31 janvier au 3 février 2024. Sors-tu? s’est entretenu avec le metteur en scène pour discuter de sa dernière collaboration avec la chorégraphe Catherine Gaudet.
Dans une société où la peine capitale est rétablie, Trois doit décider de la sentence de l’homme qui lui a infligé ce mal, mais est rapidement mise mal à l’aise. Dans cette traduction d’une durée d’1h25, cette pièce nous montre un futur proche dans lequel s’entrechoquent justice et violence.
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