Entrevues
Entrevue avec Nunslaughter | « Du death metal mélodique, c’est un oxymore »
Presque quinze ans après leur dernière apparition à Montréal, le groupe de death metal « non-mélodique » Nunslaughter était de retour au Québec. Il s’est produit au Piranha Bar en compagnie des non moins blasphématoires Profanatica. Nous avons profité de l’occasion pour nous asseoir avec Don of The Dead, seul membre fondateur restant du groupe américain. On a jasé des débuts de la scène, de punk, de Satan, de death metal et de mauvaise musique.
Entrevue avec Girlschool | Le plus vieux band de métal féminin arrive aux Foufs
Souvent citée comme le plus vieux groupe rock uniquement composé de femmes, la mythique formation britannique Girlschool débarque à Montréal. Elle enflammera la scène des Foufounes Électriques ce dimanche 31 mars avec son nouvel (et quatorzième!) album, WTFortyfive?. Sors-tu? a rejoint au téléphone la chanteuse principale, Kim McAuliffe.
Cutting Through the Noise à l’Agora de la danse en avril 2024 | Défier l’algorithme, main dans la main
Cutting Through the Noise n’a pas le profil type d’une pièce qui aboutit à l’Agora de la danse. Destinée à une cohorte finissante de l’École de danse contemporaine de Montréal (EDCM), elle prendra pourtant forme à l’Édifice Wilder du 4 au 6 avril prochains. Sors-tu? a tenté de percer son mystère avec son chorégraphe, Alexandre Morin.
Entrevue avec Kazy Lambist | De l’électro-pop aux saveurs méditerranéennes
L’auteur-compositeur-interprète français Kazy Lambist est de passage au Québec cette semaine, afin d’assurer la première partie du projet électro-pop français Kid Francescoli, d’abord à Québec au Théâtre Capitole hier soir (jeudi 21 mars), puis à Montréal au Théâtre Beanfield ce vendredi. Nous avons accueilli l’artiste à nos bureaux plus tôt cette semaine afin de discuter avec lui de son rapport à la musique, à Montréal, à Kid Francescoli, ainsi qu’à la Turquie.
Entrevue avec Samuel Larochelle : Les Cabarets Accents Queers sur une lancée
Après six éditions qui parviennent sans mal à faire salle comble, c’est confirmé : la formule des Cabaret Accents Queers fonctionne. Parce que tous les genres (ou presque) y sont permis, que la programmation semble toujours plus diversifiée, qu’il faut se préparer aux larmes et aux grands éclats de rire, ou toutes ces réponses. Sors-tu? a fouillé la recette du succès du cabaret avec son instigateur, l’écrivain et journaliste Samuel Larochelle.
Entrevue avec la direction artistique du FTA | Une programmation dévoilée qui fait plaisir
La programmation reste fidèle à ce que le FTA a proposé dans les dernières années, mais se démarque aussi dans une nouvelle offre pour les festivaliers. Une édition qui se rapproche du projet original de la fondatrice Marie-Hélène Falcon, qui était sur place pour la cérémonie. Les deux coproductrices artistiques ont aussi mentionné que cette édition du festival était le début d’une vision, d’un projet pour les années à venir.
Entrevue avec Jean-François Alcoléa | Méliès dans un théâtre près de chez-vous
Jean-François Alcoléa, qui dirige la compagnie Alcoléa & cie depuis 2000, est de retour dans la province pour présenter son spectacle En plein dans l’œil, une production revisitant l’œuvre du réalisateur français Georges Méliès à la sauce moderne. Sors-tu? a rencontré l’homme derrière le projet pour prendre le pouls de la compagnie, ainsi que pour savoir à quoi le public québécois devra s’attendre en prenant part à l’expérience En plein dans l’œil.
Entrevue avec le groupe de black metal Gorgon | « Ce style n’était pas fait pour être ouvert au grand public »
Au début des années 90, plusieurs groupes de black metal sont actifs dans les réseaux underground d’Europe, et pas qu’en Norvège. Le groupe français Gorgon fait alors partie des pionniers du genre dans l’Hexagone. Le groupe se produisait pour la première fois de ce côté de l’Atlantique lors de la dernière édition de la Messe des Morts. Nous avons rencontré Chris, l’homme derrière cette entité black metal. On jase des années 90, de l’évolution du genre, de l’importance de jouer avec les tripes plutôt qu’avec la technicité, et de l’ouverture des réseaux underground au grand public.