Que vaut un album, et comment contrer l’exode des consommateurs vers le numérique afin de sauver les disquaires ? Cette question a occupé une partie de la journée, jeudi, lors des Rencontres de l’ADISQ. Les vinyles ? Un baume temporaire. De « beaux objets accompagnés d’un code de téléchargement » alors, suggérions-nous en commentaire sur Twitter ? Les disquaires invités au panel ont balayé cette idée du revers de la main. Eh bin on apprend aujourd’hui que le groupe montréalais Human Human abonde en notre sens…