Barbara Hannigan
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La Quatrième symphonie de Bruckner par l’OSM à la Maison symphonique | Imagé, mais parfois conventionnel
L’Orchestre symphonique de Montréal donnait la semaine dernière deux représentations de la Quatrième symphonie du compositeur autrichien Anton Bruckner. La pièce In the Half-Light, de la compositrice canadienne actuelle Zosha Di Castri, était présentée plus tôt dans la soirée.
La maestro Barbara Hannigan dirige l’OSM sans baguette ni trompette
L’Orchestre symphonique de Montréal accueille ces jours-ci comme cheffe invitée Barbara Hannigan, dans un programme pour le moins hétéroclite unissant Strauss et Poulenc. Je cherche encore à comprendre ce qui motive ce choix de pièces qui a, par ailleurs, su ravir le public, qui a offert de multiples ovations à la fin du spectacle.
Envoûtement à l’OSM offert par Barbara Hannigan et Rafael Payare dans une Symphonie Fantastique à couper le souffle
Lumières soudainement tamisées dans la Maison Symphonique, un filet de voix nous parvient d’outre-tombe; du moins c’est ce que l’on croit quelques secondes jusqu’à ce qu’on lève la tête. Devant l’orgue se tient Barbara Hannigan, comme une apparition fantomatique et inquiétante, toute vêtue de blanc. La soirée débute par une œuvre du compositeur italien Luigi Nono, Djamila Boupacha, pour soprano solo.