Festival Igloofest
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Igloofest 2014 – Weekend 3 : Toujours plus d’ambiance et de monde avec Hot Since 82, Sharam et plus

Huitième jour de fête sur le vieux-port et la fréquentation ne fait que s’accroître. Si pour les veilles des deux premiers weekends du festival, les igloofestivaliers avaient du mal a se bouger, ce n’est plus le cas. Nous sommes vendredi 31 janvier, et le spot de l’Igloofest est bondé comme un samedi soir.

Jour 8 (vendredi 31) – Gab Rhome (CA) // Hot Since 82 (GB) // Sharam (US)

Photo par Richard Mercier.

Hot Since 82. Photo par Richard Mercier.

Weekend présenté par Jägermeister. Autant dire que les amateurs de boissons alcoolisées allaient se donner le mot. Ce n’est peut-être pas si étonnant au final de voir autant de monde.

La venue des artistes comme Sharam et Hot Since 82 y sont aussi pour quelque chose. Gab Rhome a eu la lourde tâche de pré-chauffer la foule avec sa house psychédélique. L’artiste a signé récemment plusieurs EP.s sur le label Supplement Facts de Guy Berber. Autant dire que ce jeune valait la peine d’être entendu mais surtout écouté.

Hot Since 82, ou « Chaud depuis 82 » comme a aimé le traduire le community manager de l’Igloofest, n’a pas eu beaucoup de mal a chauffer son public. Ovationné dès les premières notes de son set, Hot Since 82 a distillé durant plus d’une heure et demi tout ce qu’il sait faire de mieux. Une house rondelette avec de grosses montées et de gros kicks. Un set planant et rebondissant. Alternance de house, deep et parfois progressive, succulent à souhait. Encore beaucoup trop méconnu, pourtant ici, à Montréal, son nom raisonnait déjà comme ceux des grands ! Un délice auditif.

Photo par Richard Mercier.

Sharam. Photo par Richard Mercier.

La transition house-progressive n’a pas été difficile a s’effectuer avec Sharam. Star mondiale de la house/electro, il n’a pas mis longtemps non plus à dégainer ses tubes. Plutôt progressive en début de live, Sharam a su faire monter de plus en plus la pression et euphoriser le public.

Contrairement à son statut de star des dancefloors, Sharam ne s’est pas contenté de passer du commercial. Bien au contraire. Les igloofestivaliers dansaient de partout. Jusque dans les allées. C’était beau à voir, et la bonne humeur se lisait sur touts les visages.

Le titre Party All The Time a fait se lever la foule comme jamais. Titre qui, aujourd’hui, fait encore toujours danser de par son refrain entêtant.

Une fin de live plus percutante et plus électro, comme pour marquer à jamais son passage dans la glace montréalaise.

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Catégorie(s)
Electro,

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