Résidence de la Compagnie Jean Duceppe, ce théâtre situé sous le Théâtre Maisonneuve présente plus de 200 représentations chaque année. La scène est d’une largeur exceptionnelle et la salle peut accueillir 765 personnes en ses mûrs.
Du 18 au 28 juillet, ComediHa! salue Montréal, présenté par Vidéotron en collaboration avec Loto-Québec, animera la métropole pour 10 jours d’activités avec une trentaine de spectacles réunissant près de 200 artistes et artisans! Dans la foulée du 25e anniversaire du ComediHa! Fest Québec, ComediHa! salue Montréal dévoile aujourd’hui une programmation diversifiée, unique et exclusive comprenant des événements majeurs, des spectacles d’humour et des représentations extérieures gratuites dans des lieux emblématiques tels que la place des Festivals, la Place des Arts, le Théâtre St-Denis et le Théâtre du Vieux-Terrebonne. ComediHa! est heureuse d’offrir cet été, aux centaines de milliers de citoyens et touristes de la métropole, le bonheur de « Voir la vie en drôle ».
S’il y a bien une chose que Catherine Gaudet prouve avec ODE, présentée en première mondiale au Théâtre Duceppe dans le cadre du Festival TransAmériques ce samedi, c’est qu’on a beau tenter de définir ou d’encadrer la danse contemporaine, des œuvres marginales et libertaires trouveront toujours le moyen d’y pousser pour tout faire éclater.
Avant même le début du spectacle, la scène du théâtre Duceppe, habitée de comédiens dans l’attente, nous interpelle. L’homme formellement vêtu, au bout d’une longue table, est-il un invité d’honneur? Un membre influent de cette famille? Pourquoi semble-t-il isolé des autres personnages, qui, hommes comme femmes, arborent de longues jupes sombres?
Le festival TransAmériques (FTA) connaîtra le coup d’envoi de sa prometteuse 18e édition ce mercredi 22 mai, et se poursuivra jusqu’au 5 juin prochain. Pour vous aider à vous retrouver parmi la vingtaine de spectacles de danse et de théâtre proposés, Sors-tu? en a sélectionné et épluché cinq qui s’annoncent particulièrement intéressants.
Dans la pièce Royal, présentée au Théâtre Duceppe, Jean-Philippe Baril Guérard livre une adaptation de son roman à la fois troublante et percutante. On y retrouve une cohorte d’étudiants en droit déterminés à décrocher un stage dans un prestigieux cabinet, coûte que coûte.
Moi, dans les ruines rouges du siècle est l’histoire d’une quête. Une quête de deux décennies, que le héros préfère par moments oublier pour tenter de se construire, dans une U.R.S.S. sur le déclin. Une quête tantôt drôle, tantôt émouvante, pleine de détours mais inéluctable : celle d’un fils pour retrouver sa mère. Cette mère qui l’aurait abandonné à son père dans sa petite enfance. A moins que ce ne soit son père qui l’ait kidnappé.
Après avoir fait ses premières armes à Québec, l’adaptation du livre de Jonas Gardell était attendue avec fébrilité et émotions à Montréal. C’est donc hier, le 6 décembre, que le public a pu découvrir cette version travaillée pour le théâtre par Véronique Côté, et mise en scène par Alexandre Fecteau. Et une chose est sûre : que l’on ait ou non lu l’œuvre, on pouvait se douter que la pièce allait nous rentrer dedans à bien des égards.
Quand on pense à Louis T, on se dit : domination, charisme, puissance, virilité. Non ? Tant pis ! Louis T revient quand même sur scène avec un nouveau spectacle produit par Juste pour rire intitulé Mâle Alpha, qui sera présenté à compter de février prochain partout au Québec.
Après Pina Bausch et l’École des Sables la semaine passée, c’est encore une grande première pour le diffuseur de danse contemporaine Danse Danse en cette rentrée culturelle, cette fois-ci grâce à une première compagnie italienne programmée. Dans le cadre de cette collaboration inédite avec l’Institut italien de la culture, Danse Danse reçoit l’artiste-chorégraphe Silvia Gribaudi et ses trois apollons qui nous proposent une interprétation de la sculpture néo-classique Les Trois Grâces, créée par Antonio Canova entre 1812 et 1817.