Ursa Mtl
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David Binney et Dolman / Rossy / Jobin à l’Ursa | Un premier soir riche en jazz contemporain original
Le premier soir du Montréal Anti-Jazz Police Festival confirme qu’il y a un public pour la musique jazz contemporaine champ gauche. La petite salle chaleureuse de l’Ursa est pleine à craquer pour assister aux excellents concerts de David Binney accompagné de la crème des musiciens de Montréal. La soirée se termine avec le projet du batteur Aaron Dolman, accompagné des chanteuses Sarah Rossy et Eugénie Jobin.
Marcus Lowry à l’Ursa | Intimiste et chaleureux
C’est dans l’agréable ambiance de la petite salle de l’Ursa sur l’avenue du Parc que l’on retrouve la folk touchante de Marcus Lowry. Il nous a joué les titres de son album Time, Time, Time qui a été un coup de cœur personnel en 2023. Avec ses musiciens, il a su toucher un public attentif et ravi. La soirée avait particulièrement bien commencé avec la folk inventive de Nan Macmillan et Evan Dibbs dans un duo complémentaire et riche.
Extraordinaires Femmes – Lancement du EP Femmes de Maxime Auguste à l’Ursa
Maxime Auguste a lancé son troisième opus tissé de chansons poétiques et résolument country, le 15 mars dernier, au Ursa, devant un public conquis.
Tommy Crane’s Dance Music et Sarah Rossy à l’Ursa | un lancement émouvant et un voyage jazz ambient
Ce mardi soir, c’est le troisième concert de la série Beyond Jazz dans la chaleureuse petite salle de l’Ursa, où l’on retrouve les musiciens de la scène jazz montréalaise dans une ambiance décontractée mais avec de la musique de qualité. Le batteur Tommy Crane organise et présente la soirée et c’est la chanteuse Sarah Rossy qui lance son EP Seemingly Insatiable Waves suivi de la formation Tommy Crane’s Dance Music For All Occasions pour une soirée qui sort de l’ordinaire.
Tommy Crane’s Dance Music For All Occasions à l’Ursa | Une vision rafraichissante du jazz moderne
C’est toujours un plaisir de se retrouver à l’Ursa, la petite salle de l’avenue du Parc à l’accueil et l’ambiance chaleureuse, pour une soirée dont le thème est Beyond Jazz où l’on retrouve les musiciens de la scène jazz montréalaise dans une ambiance certes décontractée mais avec de la musique de qualité. Mardi soir, on retrouvait le Tommy Crane’s Dance Music For All Occasions avec le rafraîchissant quatuor Bellbird en ouverture.
Velours Velours et Larynx à l’Ursa mtl | Montréal underground et intime
Participant de l’édition 2023 des Francouvertes, le jeune auteur-compositeur-interprète Velours Velours, de son vrai nom Raphaël Pépin-Tanguay, tenait durant quatre mercredis du mois d’août des résidences à l’Ursa, une très modeste salle dans le quartier d’Outremont. Invitant à chaque reprise un musicien pour l’accompagner, c’était cette fois-ci au tour de Larynx de répondre présent aux côtés de l’artiste originaire de Trois-Rivières, en ce début de soirée du 30 août 2023.
Fanny Bloom à Ursa Mtl | Toute seule au piano, enchanteresse et sensuelle
C’est dans le cadre intimiste de l’Ursa en compagnie d’une quarantaine de fidèles que Fanny Bloom termine sa courte tournée en piano solo. C’est l’occasion de renouer avec le public après les confinements et de casser quelques nouvelles tounes avant d’aller les enregistrer pour le prochain album.
Aaron Shragge / Robbie Kuster et Simon Angell / Tommy Crane à l’URSA Mtl | Musique improvisée pour aller plus loin
Après la fermeture du Résonance Café, l’Ursa devient la seule petite salle à offrir une scène aux musiques improvisées. Lundi dernier, c’était deux duos qui nous étaient présentés : Aaron Shragge / Robbie Kuster et Simon Angell / Tommy Crane avec de la musique pas comme les autres aux confluents du rock, jazz, ambient et expérimental.
POP Montréal 2021 | Un 20e anniversaire à ne pas manquer
Du 22 au 26 septembre, le festival POP Montréal revient avec une édition hybride pour son 20e anniversaire. Des évènements en virtuel ainsi que sur place seront proposés, mettant en scène des artistes d’ici et d’ailleurs, tous plus talentueux les uns que les autres.
POP Montréal 2020 aura été le répit illusoire qu’il nous fallait (avant la vague rouge…)
Ça nous pendait au-dessus de la tête comme une épée de Damoclès… On savait bien que tôt ou tard, la situation légèrement améliorée du milieu du spectacle allait piquer du nez à nouveau, à mesure que le spectre de voir de Montréal et Québec (et probablement d’autres régions) culbuter en zone rouge paraissait de plus en plus inévitable (et il semblerait que ce soit désormais une fatalité). Au moins, POP Montréal aura su profiter de la très étroite fenêtre entre la permission de tenir des festivals à nouveau et le retour à un reconfinement pour tenir une édition hybride franchement irréprochable, qui nous aura permis de faire le plein d’émotions fortes avant la deuxième vague de courage solitaire (et solidaire).