Critiques Concerts et spectacles à Montréal et Québec

Critique théâtre | Cinq visages pour Camille Brunelle à l’Espace Go
On retrouve cinq personnages (dont aucun ne porte le nom de Camille Brunelle), cinq amis qui se décrivent, se comparent et s’exposent en verbalisant tout ce qu’on peut dévoiler sur Facebook.

Critique théâtre | Les Muses orphelines au Théâtre Jean-Duceppe
Le secret de longévité des Muses réside probablement dans cet enchevêtrement d’intime et d’universel dans l’histoire de ces enfants abandonnés pour cause de la liberté…
Critique | Orange Mécanique à l’Olympia de Montréal
L’adaptation théâtrale du livre (et chef d’oeuvre cinématographique) Orange mécanique était dévoilé jeudi soir à L’Olympia de Montréal. Les attentes étaient forcément démesurées… L’adaptation québécoise d’Alexandre Goyette allait-elle pouvoir relever ce défi éléphantesque ?

Critique théâtre | Scalpée à l’Espace Libre
La pièce Scalpée traite des pertes soudaines et vives dont sont affligés les gens tôt ou tard. Comme toile de fond, la crise d’Oka et la crise identitaire d’un peuple déraciné et scindé.

Critique théâtre | Pervers à La Licorne
Pervers s’inscrit dans le contexte théâtrale que défend le Théâtre de la Manufacture, en étant accessible, actuel, dénonciateur et en interrogeant les nouvelles données qui interfèrent dans notre société.

Critique théâtre | Le Roi se meurt au TNM
Pour entamer l’année, le Théâtre du Nouveau Monde (TNM) propose le maître de l’absurde, Eugène Ionesco et son inclassable Le roi se meurt.

Critique | Ventre à La Licorne
Sur fond de papier mâché et recraché, Steve Gagnon nous livre Ventre, un texte à l’image de son décor. Accompagné sur scène de Marie-Soleil Dion, Gagnon expulse un éditorial sur la vie de couple et l’amour en ce début de vingt-et-unième coriace et blasé, duo mis en scène par le sensible Denis Bernard.

Critique | Le Brassières Shop au Théâtre de Quat’Sous
Le Brassières Shop, c’est un tour de chant né du fantasme des comédiennes Geneviève Bilodeau, Marie-Ève Pelletier et Dominique Pétin, qui traite non pas de grosseur de poitrine, mais de vie, de bonheur, de quête et d’espoir. Sous des arrangements aussi méconnaissables qu’agréables, une quinzaine de chansons chatouillent l’oreille et le coeur d’une nouvelle façon…
