Les festivals estivaux annoncent tour à tour leur programmation ces dernières semaines, mais voilà qu’on commence déjà à empiéter sur l’automne! Coup de coeur francophone ne perd pas de temps et annonce déjà quatre spectacles qui seront présentés lors de son édition 2023, qui se tiendra du 2 au 12 novembre prochain.
Le Planétarium de Montréal présentera un spectacle célébrant le 50e anniversaire de l’album emblématique de Pink Floyd, The Dark Side of the Moon. Du 3 mai au 4 septembre 2023, les spectateurs pourront profiter d’une expérience unique combinant musique et images visuelles du système solaire dans une ambiance sonore immersive, rendue possible grâce aux technologies modernes d’un planétarium.
The Australian Pink Floyd Show donnera un concert à la Place Bell, à Laval le 30 septembre 2023 et un autre à l’Amphithéâtre Cogeco de Trois-Rivières, le 1er octobre . Parfois abrégé en TAPFS, le groupe se produira dans le cadre de leur tournée Darkside 50, qui rend hommage à Pink Floyd et surtout au cinquantième anniversaire de l’album The Dark Side of the Moon, sorti en 1973.
Le Festival de musique émergente de Rouyn-Noranda lançait ce jeudi 31 août sa 21e édition. Avec des champignons en guise de thème de cette nouvelle mouture, le FME propose une fois de plus cette année un grand fourre-tout à l’image de l’immensité de ce qui se crée aujourd’hui dans la musique, partout à travers le globe. Retour sur la soirée d’ouverture de l’événement.
L’euphorie en douceur, la mélancolie en force et une sorte de foi en l’humanité, c’est ce que les chansons de Flavien Berger ont semblé susciter dans une salle TD pleine à craquer mardi soir. L’auteur-compositeur-interprète qui a collaboré avec Pomme et Bonnie Banane déclare que « c’est la première fois que les gens chantent les paroles aussi fort dans une salle ». Si c’est exact, quelque chose nous dit ce n’est pas la dernière.
Les vieux trentenaires et surtout quarantenaires avaient tout de même un nanane en ce premier vendredi : le retour des Flaming Lips à Osheaga, clin d’oeil aux origines du festival puisque le groupe était de la première mouture d’Osheaga, l’humble édition 2006. Ils étaient ensuite revenu en 2011, pour interpréter leur magistral album The Soft Bulletin en intégral. Cette fois-ci, douze ans plus tard, c’est Yoshimi Battles The Pink Robots qu’ils sont venus interpréter du début à la fin.
TEKE::TEKE est un phénomène à part, même pour la riche diversité musicale de Montréal. Un groupe aux influences pysch-rock qui chante en japonais, mettons que ce n’est pas forcément ce qui parait le plus vendeur. Et pourtant, toutes ses particularités se sont transformées en atouts. Et des bons titres, ça reste des bons titres, quelle que soit la langue des paroles, surtout quand ses concerts prennent rapidement l’allure de gros partys.
Le groupe de rock psychédélique montréalais TEKE::TEKE fait paraître aujourd’hui son deuxième album, du nom d’Hagata. Si la formation se voulait au départ une réactualisation d’un mouvement musical japonais des années 60 et 70, le eleki, loin semble l’époque où TEKE::TEKE ne se contente que de reprendre des morceaux déjà écrits : leurs répertoire et créations se distinguent à travers ce projet, développant peu à peu leur univers musical propre. Entrevue avec trois membres du septuor.
« La première chose à savoir sur Mothland, c’est que c’est une compagnie hybride: on fait beaucoup de choses », nous disent en entrevue Jean-Philippe Bourgeois et Philippe Larocque, deux membres de l’équipe derrière le label et agence de booking. La compagnie ainsi que cinq des groupes qu’ils représentent seront à la Sala Rossa pour leur annuel M pour Mothland ce vendredi 19 novembre, cette fois en guise de célébration de leur quatrième anniversaire. Sors-tu s’est entretenu avec les deux mordus de musique pour en discuter.
C’est sous l’étiquette Bonbonbon que Rachel Leblanc, autrice-compositrice-interprète de 25 ans qui évolue sous le nom de Vanille, lance son premier album le 5 février lors d’un spectacle virtuel diffusé le 5 février.
Alors que le milieu culturel est en pause dans les grands centres, rien n’empêche les artistes excentrés de s’adonner aux plaisirs des spectacles en salle qui respectent les mesures de santé publique effectives dans leur région. C’est d’ailleurs ce que fera Dany Placard cette fin de semaine à l’occasion de ses deux spectacles de la tournée Je connais rien à l’astronomie où il présente son plus récent album en nomination à l’ADISQ (Album alternatif de l’année) et au GAMIQ (Album rock de l’année).
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