Peut-être est-ce la paresse intellectuelle d’une génération qui parle ici, peut-être n’avons-nous plus l’habitude de s’en faire raconter autant en si peu de temps, mais cette chorégraphie du langage d’une heure quinze minutes n’atteint que la part intellectuelle du cerveau du spectateur, et demande une concentration coriace. (…)