Critiques Concerts et spectacles à Montréal et Québec
Kataklysm et Belphegor au Théâtre Corona | Quand l’extrême rencontre l’émotion
Une foule d’amateurs de musique extrême a convergé vers le Théâtre Corona vendredi soir. L’affiche proposée était attirante: un plateau de groupes montréalais suivis du groupe lugubre Belphegor, pour ensuite terminer la soirée avec les féroces gars de Kataklysm.
33 photos de Parkway Drive, Miss May I et Thy Art Is Murder au Métropolis
Les groupes Parkway Drive, Thy Art Is Murder et Miss May I se succédaient sur la scène du Métropolis. Notre photographe Benoit Turcotte s’y trouvait. Retour en photos.
Bobby Bazini au CNA d’Ottawa | Du Bazini tout chaud
Vendredi soir, Bobby Bazini était de passage au Théâtre du Centre National des Arts (CNA) à Ottawa. Il s’agissait de son premier spectacle à Ottawa, et du dernier de la tournée Where I Belong.
Guerre et paix au Théâtre d’Aujourd’hui | Marionnettes politisées
Voilà que le Loup bleu remet le coup avec une autre réinterprétation d’une œuvre célèbre et prend d’assaut les planches du Théâtre d’Aujourd’hui. Après s’être attaqué au Discours de la méthode de Descartes, le sympathique loup s’est tourné cette fois vers Tolstoï et sa magistrale saga de 2000 pages Guerre et paix résumée en 90 minutes. Au programme : la Russie du 19e siècle, des batailles sanglantes, de l’amour et de la philosophie sur fond de politique.
Youssou N’Dour à l’Olympia de Montréal | Grande fête pour le retour de l’Étoile du Dakar
C’est sous un ciel pluvieux que la star de la musique africaine Youssou N’Dour a lancé le coup d’envoi des célébrations du 30e anniversaire des Nuits d’Afrique à l’Olympia qui s’étirera jusqu’en juillet 2016.
Solids à la Casa | Comme un choc électrique
Récemment revenu de leur tournée européenne, Solids a fait grimpé la température à la Casa del Popolo hier soir durant leur show, qui était fort attendu par leurs fans.
Mehdi Cayenne – Aube (****) | Quand ça fait pop (sans faire simple)
On va se le dire : les vers d’oreille ont souvent quelque chose d’un peu insipide. Rares sont les mélodies qui collent au cerveau sans tomber sur le coeur à la longue, l’immédiateté étant souvent l’ennemi de la durabilité. Mais quand ça adhère dès le départ, que ça s’agrippe entre les deux oreilles de l’auditeur et qu’on ne s’en tanne pas après vingt écoutes, c’est signe qu’on tient quelque chose…
Jean-Thomas Jobin au Gesù | Apprendre à l’aimer
L’humoriste absurde laisse tomber une partie de son personnage pour son troisième spectacle, Apprendre à s’aimer, en grande première au Gesù ce mercredi 8 . Jean-Thomas Jobin sert toujours autant de jeux de mots, d’ironie et de pensées uniques à son esprit, mais permet au public de le connaître un peu plus et le fait rire davantage lors de ces moments. Retour sur Apprendre à s’aimer ou l’univers d’un humoriste déjanté.