Jean-François Tremblay
Collaborateur (Ontario)
Jean-François Tremblay blogue depuis 2004 sur diverses plateformes. Diplômé d'un baccalauréat en arts, option cinéma, Jean-François se passionne pour le septième art et le théâtre mais apprécie également la comédie musicale, Broadway et le rock progressif, le country comme le blues, le jazz et le soul en passant par le folk.
Pour rejoindre Jean-François: wsgerzoynl@fbefgh.pn
Photos de Jean-François Tremblay
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
White Poppy
White Poppy
White Poppy
The Auras
The Auras
Sonic Avenues
Une prestation impeccable (mais trop courte) d’un programme double de haut calibre musical et fort réjouissant, mais qui n’a fait que chatouiller l’oreille du mélomane, qui en aurait voulu plus.
Ce qui aurait put être un album pop non pas classique mais du moins intéressant n’est, au final, qu’un ramassis de clichés disco qui n’a rien de mémorable.
Réalisé par Erich Van Tourneau (nom d’artiste d’Éric Létourneau), Viva Elvis réunit plusieurs grand titres de la carrière du «King of Rock ‘n’ Roll», qui, pour l’occasion, sont remis au goût du jour par le biais de nouveaux arrangements, dont un duo de « Love Me Tender » avec Marie-Mai.
Jill Barber sera de passage à L’Astral, à Montréal, en compagnie de Michael Kaeshammer, pour 2 représentations (18h et 21h) le samedi 20 novembre 2010. Sorstu.ca a profité de l’occasion pour s’entretenir par téléphone avec la chanteuse, qui se trouvait à Vancouver.
Jill Barber sera de passage à l’Astral, à Montréal, en compagnie de Michael Kaeshammer, pour 2 représentations (18h et 21h) le samedi 20 novembre 2010. Sorstu.ca a profité de l’occasion pour s’entretenir par téléphone avec la chanteuse, qui se trouvait à Vancouver. (intégral de l’entrevue)
On aurait préféré du matériel original de la part de Huey Lewis & The News, surtout considérant le temps d’attente entre l’album précédent et celui-ci, mais Soulsville est une œuvre qui n’est pas dépourvue d’intérêt.
Speak Now est une oeuvre qui s’adresse à l’adolescent(e) en chacun de nous. Le public adulte n’y trouvera probablement pas grand-chose qui vaille, le tout étant très redondant et insignifiant.
Un rock aux accents pop qui apaise autant qu’il donne envie de danser, une production léchée de facture rétro (signée Tony Hoffer), des interprétations senties, c’est que ce vous trouverez – et plus! – sur ce disque d’une très grande beauté.
The Union est né de l’admiration que se portent deux grands musiciens, qui ne cherchent plus à se trouver sur les palmarès et qui font de la musique purement par passion, et ça se sent en l’écoutant. Malgré cela, le disque aurait eu avantage à être resserré. Ce qui aurait pu être un grand disque s’avère être, au final, trop long et…
Malgré quelques accros, c’est à une performance énergique et enjouée de The Creepshow que le public montréalais a eu droit, donnée par une formation qui prend de la maturité et dont le répertoire s’avère de plus en plus solide avec le temps.