Critiques Concerts et spectacles à Montréal et Québec
Elle respire encore de Jérémie Niel à l’Agora de la danse | Sombre et exigeant
Les ténèbres ne sont pas dépourvues d’intérêt pour le jeune […]
Les robots font-ils l’amour? D’Angela Konrad à l’Usine C | « Hybrides-toi ou meurs ! »
Une pièce d’une terrible acuité sur le transhumanisme, l’intelligence artificielle forte, l’humain augmenté, la technologie appliquée au médical, la primatologie, la nanotechnologie au service de la procréation et aussi bien dire, l’avenir tout proche de la race humaine.
Retour réussi de la Martha Graham Dance Company au Théâtre Maisonneuve
La Martha Graham Dance Company présente au Théâtre Maisonneuve une soirée en deux parties, où les pièces des années 30 créées par Martha Graham côtoient celles de chorégraphes contemporains du 21e siècle. Superbe soirée en compagnie de danseurs de talent.
Requiem du Eifman Ballet de Saint-Pétersbourg | Une trame narrative inégale
[Requiem] : mot qui signifie « Prière de l’Église catholique pour les morts; messe pour un défunt ». C’est sur ce thème funeste que le ballet de Boris Eifman prend ses racines. Composé de deux actes, Requiem est bâti sur deux oeuvres distinctes mais qui finissent par se rejoindre, celle de la poétesse Anna Akhmatova et celle de Mozart. Se rejoindre oui, mais pas complètement. Retour sur un ballet au début haletant, mais à la fin décousue.
Résistances plurielles à l’Agora de la danse | 34 photos de l’évènement en avant-première
Avis aux amateurs de danse, du 24 au 27 janvier 2018 se déroulera le programme triple Résistances plurielles à l’Agora de la danse. Celui-ci se décline autour de trois oeuvres (Icône Pop, Instant Community et Recurrent Measures) qui ont pour thème principal la résistance sous toutes ses formes et notamment à travers le langage du corps.
Ballets Jazz de Montréal présente Dance Me, un hommage à Cohen… en danse
Hier soir avait lieu la première mondiale du nouveau spectacle des Ballets Jazz de Montréal à la Place des Arts, deux ans après leur dernière venue sur cette même scène. Dance Me, inspiré par Leonard Cohen et sur sa musique, est une ode à l’Art et à l’Artiste et nous transporte pendant 80 minutes dans l’univers si original et authentique de Cohen.
Some Hope for The Bastards à l’Usine C | Frédérick Gravel, L’insoumis qui dérange
« L’art peut être quelque chose de grandiose. En même temps, on dirait que je n’y crois pas, étant moi-même assez cynique. Je suis ce bastard du titre, en référence à cette émotion vécue, ce moment où j’ai estimé que je ne servais à rien d’autre qu’à donner un peu d’espoir à des trous du cul parmi lesquels je m’inclus. »
Sous la nuit solitaire au Quat’sous | Théâtre dansé
Pas un mot n’est prononcé par les interprètes pendant la petite heure que dure cet obscur objet du désir qu’est le spectacle Sous la nuit solitaire à l’affiche du Théâtre de Quat’Sous. Ainsi l’ont voulu les deux concepteurs, Olivier Kemeid à la mise en scène et Estelle Clareton aux chorégraphies. Est-ce du théâtre, est-ce de la danse? Ou plutôt du théâtre dansé?
Chargement en cours...