Jean-François Tremblay
Collaborateur (Ontario)
Jean-François Tremblay blogue depuis 2004 sur diverses plateformes. Diplômé d'un baccalauréat en arts, option cinéma, Jean-François se passionne pour le septième art et le théâtre mais apprécie également la comédie musicale, Broadway et le rock progressif, le country comme le blues, le jazz et le soul en passant par le folk.
Pour rejoindre Jean-François: wsgerzoynl@fbefgh.pn
Photos de Jean-François Tremblay
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
White Poppy
White Poppy
White Poppy
The Auras
The Auras
Sonic Avenues
Ce disque n’est peut-être pas la meilleure façon de débuter l’exploration de l’œuvre du pianiste. Pour s’imprégner de l’âme de Ray Charles, il faut écouter Ray Charles. Malgré tout, le disque s’apprécie pour ce qu’il est – un excellent hommage jazz à un interprète de renom, et ce par des musiciens de grand calibre…
The Unforgiving est un bon album, solide et très agréable à écouter. La production, signée Daniel Gibson, mélange adroitement l’aspect pompeux du métal symphonique à l’esprit plus immédiat du rock FM, ce qui devrait valoir à Within Temptation de plus en plus d’adeptes. Dommage seulement que le groupe y perde un peu de sa personnalité…
Cold War Kids a offert dans l’ensemble un spectacle honnête et grandement satisfaisant où l’humilité, la simplicité, et surtout le talent musical des quatre hommes ont su charmer la foule venue les admirer.
Carnet de voyage transposé en musique, ce disque double est une invitation à accompagner la chanteuse acadienne dans l’Ouest américain, où elle est partie pendant quelques années à la recherche des souvenirs de son arrière-grand-tante – elle aussi artiste à son époque – Lydia Leblanc, dite Lydia Lee. Décrivant l’album comme un « film sonore », la musicienne nous entraîne pendant plus d’une heure dans un vaste univers sonore, où se mélangent chansons, extraits audio et pièces instrumentales…
« Goodbye Lullaby » est une œuvre vide, venant d’une artiste qui a bien peu de choses à offrir, et qui s’accroche lamentablement à une image d’elle-même qui ne colle plus à sa réalité. Telle une Britney Spears qui capitalise sur son image sexy, Avril Lavigne n’arrive pas à se sortir du moule de l’ado rebelle, et cela appauvrit sa musique, qui n’a déjà pas grand-chose de consistant à la base.
C’est au théâtre du Gésu de Montréal qu’était présentée, samedi soir, la 6e édition du WAWA Show, dans le cadre des activités du festival Montréal en Lumière. Organisé par la chanteuse Amanda Mabro, cet événement annuel a pour but de mettre de l’avant le travail de différentes femmes artistes (WAWA signifie « We Are Women Artists ») en provenance de divers milieux…
La chanteuse Nicole Atkins était en spectacle vendredi soir à La Sala Rossa, où elle est venue présenter au public montréalais les chansons de son deuxième et plus récent album, « Mondo Amore ». Accompagnée de son groupe The Black Sea, l’Américaine à la voix d’or a charmé, ébloui et conquis les quelques personnes s’étant déplacées…
« C’est un travail collaboratif. Parfois il s’agit de compléter les paroles d’une chanson écrite par une autre, ou de travailler les arrangements ensemble… Nous commençons individuellement, mais ça se termine toujours à trois, jusqu’à ce que la chanson prenne la couleur des Good Lovelies. Nous avons chacune notre style, la différence s’entend, mais une fois qu’on y a toutes contribué, le produit final devient homogène. »
« Je considère la musique comme de l’artisanat. Ça faisait dix ans que je donnais des concerts, et j’appréhendais de faire un disque. En même temps, c’était quelque chose de super excitant. »
Après 50 ans de carrière, et plus de trente albums à son actif, Wanda Jackson est de retour avec The Party Ain’t Over, une collection de chansons qui ont jalonné l’histoire du rock, réalisée par nul autre que Jack White.