Critiques Concerts et spectacles à Montréal et Québec
Critique album | Steven Wilson – The Raven That Refused To Sing (And Other Stories…)
Malgré une certaine froideur vocale, « The Raven » est le plus intéressant des albums solos de Steven Wilson jusqu’à présent, rempli d’un mystère envoûtant et empreint d’une grande maturité. Il s’inscrit déjà parmi les sorties majeures de l’année 2013 dans le domaine du rock progressif.
Critique d’album | Jamie Lidell – Jamie Lidell
Très pop et funk, aux saveurs des années 80, l’album reste dans la même thématique musicale que son album
précédent Compass, paru en 2010.
Critique album | 3 gars su’l sofa – Couteau bongo
Quatre ans après la sortie de Cerf-Volant, le groupe folk-rock-humoristique lance son troisième album en carrière au titre encore inexpliqué de Couteau Bongo.
Critique album | Shawn Desman – Alive
Pour son plus récent effort, Alive – un quatrième disque en carrière – Shawn Desman délaisse les sonorités électroniques qui ont si bien collé à sa pop au profit de clichés, tant dans les paroles que dans la musique.
Critique album | Local Natives – Hummingbird
Local Natives nous revient avec un nouvel album intitulé Hummingbird. Même esthétique musicale qu’auparavant, mais tout de même un disque beaucoup plus émotif.
Critiques d’albums de la semaine | Indochine, Foals, Harry Manx, Hôtel Morphée et plus
Les critiques d’albums de la semaine, en cette période de valentins et de froids intenses : les nouveaux Indochine, Foals, Harry Manx et Coheed and Cambria, un album de reprises sentimentales de l’actrice et chanteuse Emmy Rossum, ainsi que le tout premier album complet de la formation québécoise Hôtel Morphée.
Critique album | Harry Manx – Om Suite Ohm
Avis aux bluesophiles avides de sons uniques : Harry Manx est de retour avec un 11e album où il combine de nouveau les textures et les sensibilités de l’est et de l’ouest.
Critique album | Hôtel Morphée – Des histoires de fantômes
Des histoires de fantôme se détache du lot par la richesse harmonique des arrangements et ses mélodies poignantes. L’album, dont Philippe Brault (Pierre Lapointe) signe la réalisation, dispose d’une aura personnelle et mystique. La finesse des détails est remarquable : rien n’est laissé au hasard.