Jean-François Tremblay
Collaborateur (Ontario)
Jean-François Tremblay blogue depuis 2004 sur diverses plateformes. Diplômé d'un baccalauréat en arts, option cinéma, Jean-François se passionne pour le septième art et le théâtre mais apprécie également la comédie musicale, Broadway et le rock progressif, le country comme le blues, le jazz et le soul en passant par le folk.
Pour rejoindre Jean-François: wsgerzoynl@fbefgh.pn
Photos de Jean-François Tremblay
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
Randy Bachman
White Poppy
White Poppy
White Poppy
The Auras
The Auras
Sonic Avenues
Il est un peu triste de voir un groupe si talentueux donner dans une petite salle un spectacle tel que celui-ci, visiblement conçu pour les arénas. Le rock progressif a vieilli et ses musiciens aussi, et il n’attire plus grand monde. Mais la flamme est encore dans les yeux de ces musiciens qui ont prouvé ce lundi soir à leurs irréductibles fans qu’ils n’ont pas encore dit leur dernier mot…
Peu importe ce que l’on pense des frasques médiatisées du rappeur Kanye West, il faut admettre que l’homme sait donner un bon spectacle, et il l’a prouvé ce dimanche en donnant le concert de clôture du festival Coachella, en Californie.
Vendredi 15 avril 2011 – Coachella Music Valley (Indio, Californie) […]
Le groupe a présenté ses classiques ainsi que de nouvelles pièces, tirés du prochain album, Speed of Darkness. Très axées sur la basse de Nathen Maxwell, ces chansons ont su plaire aux amateurs du groupe par leur continuité dans l’évolution sonore du groupe.
Très en forme, le groupe a principalement pigé dans son premier album ainsi que son plus récent, Mine is Yours. Ce qui a divisé un peu les fans dans la foule, mais qui n’a pas nécessairement gâché le plaisir, car les chansons s’agencent bien les unes avec les autres.
La foule était très nombreuse pour venir voir et entendre la chanteuse Robyn dans la tente Mojave de Coachella. L’artiste suédoise, en grande forme, est venue présenter la plupart de ses pièces les plus connues devant un public des plus enthousiastes, et ce malgré une défaillance au niveau des écrans qui retransmettent le spectacle pour les gens plus éloignés de la scène…
Le rock planant et musclé de Marillion a rempli les murs de l’Olympia de Montréal en fin de semaine, et ce trois soirs d’affilée, alors que la formation anglaise avait convié – comme elle l’avait fait en 2009 – ses fans à une célébration de leur longue et étonnante carrière, leur seule série de spectacles en sol nord-américain.
Montréal a toujours été une ville spéciale pour Marillion. Il semble y avoir ici une compréhension et une passion pour ce que nous faisons. C’est certainement dans le top 3 de nos endroits préférés, en termes de public, de l’électricité que nous recevons de la part de ce public. Ça a quelque chose de magique.
Débutant avec la très accrocheuse Rendezvous, Kaeshammer capte immédiatement l’attention de l’auditeur avec une pièce énergique sur laquelle les cuivres, la batterie, la basse et le piano forment un mélange explosif, un vrai régal pour les oreilles. La voix de l’artiste n’est pas l’instrument qu’il maîtrise le mieux, mais bien qu’elle soit peu différenciable de celle de bien des crooners, elle est toutefois très juste.
« Mischievous Moon » est un disque d’une grande maturité, fruit d’un travail méticuleux et professionnel évident, et ce par des musiciens passionnés et chevronnés. Cependant, l’homogénéité qui a permis à « Chances » de devenir un classique fait défaut ici, et on sent que la chanteuse et son groupe ont voulu couvrir un trop grand éventail de styles, ce qui amoindrit l’œuvre…