D’une famille originaire d’Afrique du Sud, Sam Roberts est né et à grandit entre Westmount et Pointe-Clair sur l’île de Montréal.
Après avoir obtenu son diplôme à l’université de McGill, il monte son premier groupe, Northstar (connu aussi sous le nom de William) dès 1993. La formation ne décollera malheureusement pas et éclatera six ans plus tard.
L’enfant du pays lance alors sa carrière solo et autoproduit en 2000 une collection de démos dont le single Brother Down, qui deviendra rapidement un des plus gros tubes de l’année au Canada. Il réalise également l’année suivante un EP de six titres, The Inhuman Condition.
Son premier album intitulé We Were Born in A Flame, est signé par Universal Music et sort en juin 2003. Il inclut notamment les singles Where Have All The Good People Gone et Hard Road.
Le groupe a depuis réalisé Chemical City en 2006, Love at the end of the World en 2008, et plus récemment, Collider, sorti en mai 2011. Ce dernier est le premier album réalisé sous le nom Sam Roberts Band. La formation canadienne a reçu de nombreuses distinctions aux Juno Awards ainsi qu’aux MuchMusic Video Awards, et s’est régulièrement placé en tête des charts au Canada.
Sam Roberts a annoncé que le groupe travaillait présentement sur la réalisation d’un cinquième album qui devrait voir le jour dans le courant de l’année 2014.
Le Centre Bell a été pris d’assaut, hier, par des jeunes engagés et unis pour l’éradication du sida, de la tuberculose et du paludisme lors du concert de Global Citizen. A défilé sur scène une brochette d’artistes et de représentants internationaux qui comptait Usher, The Roots, Metric, Half Moon Run, Grimes, Charlotte Cardin, même notre Coderre national et le premier ministre du Canada, Justin Trudeau.
Là, c’est vrai : septembre est parti en grand cette semaine avec une multitude de bons shows nouvellement annoncés par les promoteurs, producteurs et diffuseurs montréalais en vue des prochains mois. Et c’est sans compter les 17 spectacles déjà annoncés pour Montréal en lumière ! Déjà, en quelques jours cette semaine, Sors-tu.ca en a recensé une quinzaine dignes de mention. Allons-y mois par mois.
Le concert de Noël d’Andy Kim – bien connu sous l’appellation Andy Kim Christmas, à Toronto – était présenté pour la première fois à Montréal, samedi soir, au Théâtre Corona. Kim a su rassembler toute une brochette d’amis artistes afin de célébrer l’esprit du temps des Fêtes, tout en remettant la totalité des profits à une œuvre caritative.
Ça y est, la voilà la programmation la plus attendue de l’été. Après que l’organisation d’Osheaga ait dévoilé une image truffée d’indices jeudi soir dernier, le suspense est maintenant terminé. On y retrouvera Outkast, Jack White, Arctic Monkeys et plusieurs autres.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que les gens d’Osheaga ont le sens du suspense. Alors qu’on apprend que la programmation complète sera dévoilée mardi prochain (11 mars) à midi, le festival dévoile également un « teaser », une image pleine d’indices d’artistes se trouvant à la programmation.
Un nouveau volet du Festival d’Été de Québec a vu le jour (ou plutôt la nuit) à l’Impérial de Québec, samedi. Les Nuits FEQ se veulent une série de concerts ayant comme vocation principale de mettre en valeur le talent canadien – le tout à prix très modique. Le Sam Roberts Band était la tête d’affiche pour la première soirée de cette belle initiative et on peut déjà parler d’un franc succès. La salle bondée s’est faite livrer un concert solide par un groupe extrêmement professionnel.
Hier soir avait lieu au Lion d’Or le lancement du dernier album de Sam Roberts Band, Lo-Fantasy. C’est devant une foule exaltée que les Montréalais ont interprété l’ensemble de leurs nouvelles créations, dans l’ordre qu’elles figurent sur l’album, ainsi que quelques succès inévitables. Le groupe a livré un spectacle à la fois explosif et modeste, avec une aisance marquante.
D’emblée, on ne serait pas tenté d’associer Sam Roberts à l’imagine fantastique, au merveilleux. C’est pourtant ce qu’évoque son nouvel album, tant dans son titre que son approche : le rockeur montréalais y explore le « low fantasy », une notion souvent utilisée en fiction, selon laquelle des éléments irréels se mélangent à la réalité. Entrevue un peu space avec un artiste intense.
Étant à sa sixième sortie d’album, Sam Roberts Band a déjà fait ses preuves. En introduisant Lo-Fantasy, le groupe montréalais réussi à surprendre avec un son groovy aux airs électroniques, un univers musical peu expérimenté auparavant par Roberts et sa bande, mais qu’ils maîtrisent sans aucun doute avec brio.