crédit photo: Louane Williams
Marco Ema
Originaire des mines de Thetford, Marco Ema n’attendra pas ses vingt ans pour quitter son patelin pour lancer sa carrière musicale dans la grande ville et planche déjà sur un nouvel album quelques saisons plus tard. Inspiré par la poésie rock de Lou Reed et le son des Arctic Monkeys comme par les textes de Marie-Pierre Arthur, Pierre Lapointe et Avec Pas d’casque, Marco Ema met en musique des récits qui abordent habilement le passage à la vie adulte, avec toutes les émotions et les débordements qui en découlent. Largement influencé par l’esthétique et les thématiques des films coming-of-age, sa musique met en scène l’insouciance de la jeunesse et la nostalgie des soirées d’été.
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Le Club Soda se remplissait au compte goute, mardi soir, lors du lancement du premier album de Marco Ema, Où nos corps s’en vont mourrir. Chaque personne mettant le pied dans la salle soupirait d’émerveillement face au décor: la salle avait été convertie en banlieue par l’équipe de Pestacle.
C’est une des traditions installées par le Festival en chanson de Petite-Vallée. Depuis quelques années se déroule « Escales en chanson », anciennement connu sous le nom de Destination Chanson Fleuve, un programme de formation pour jeunes musiciens de la relève francophone canadienne. Cette année, ce sont huit « chansonneurs », alias huit jeunes auteurs-compositeurs-interprètes qui parcourent le Québec depuis le mois d’avril : Kanen, Kinkead, La Faune, Léa Jarry, Marc-Antoine Beaudoin et Marsö Margelidon, ainsi que la Manitobaine Rayannah et le Néo-Écossais Jacques Surette. Coup de projecteur sur le millésime 2021.