Osheaga

16 artistes qu’on aimerait voir à Osheaga 2019

Il fait peut-être encore froid, mais l’été arrive plus vite qu’on ne le pense car fleurissent déjà la programmation de la plupart des festivals majeurs nord-américains. Il semblerait que ça approche ici aussi : le temps est bientôt venu de connaître le menu d’Osheaga 2019 !  D’ici là, les rumeurs envers Osheaga continueront de circuler… En attendant, voici les 16 suggestions de la rédaction de Sors-tu.ca, une liste pas-tant-exhaustive des artistes qu’on souhaiterait voir sur l’affiche si jamais les organisateurs manquaient d’inspiration… (On dit ça, on dit rien hein…)

4. Childish Gambino

Donald Glover est un homme aux facettes multiples. Acteur, scénariste, réalisateur, producteur et humoriste, il apparaît aussi comme un musicien de talent sous le nom de Childish Gambino. Avec son titre This Is America, l’Américain rafle quatre trophées aux derniers Grammy Awards, dont celui de la chanson de l’année. Déjà programmé à Coachella en avril, puis Bonnaroo en juin, Childish Gambino est sur toutes les lèvres en cette année… et sûrement très prisé. Disons-le, ce serait une sacrée tête d’affiche pour Osheaga!

– Une idée « enfantine » de Victor Perrin

5. Tame Impala

Kevin Parker et sa bande sortiront de la nouvelle musique en 2019, ce qui est souvent un critère pour jouer à Osheaga. De plus, ils sont en tête d’affiche de Coachella, Boston Calling, Shaky Knees, Pukkelpop… Il serait grand temps qu’ils reviennent à Montréal, et Osheaga semble l’endroit idéal pour un retour.

– Un flash bien buzzé d’Anthony Robitaille

6. Lana Del Rey

La chanteuse new-yorkaise publiera fin mars son septième album studio, Norman Fucking Rockwell et sa promotion se déploie à date sur quelques scènes européennes en juin et juillet. Aucune annonce n’a été faite pour l’Amérique du Nord, ce qui laisse toutefois une place de choix pour Osheaga qui se déroule début août. Un retour trois ans après avoir été l’une des têtes d’affiche de l’édition 2016? Pourquoi pas!

– Un fantasme sadcore signé Victor Perrin

Ça se poursuit par ici :

Vos commentaires