Cette semaine, notre équipe de collaborateurs s’est penchée sur deux albums américains et autant d’artistes britanniques.
Le gros morceau de la semaine était sans contredit le retour de David Bowie, dix ans après son précédent Reality.
La formation de rock progressif britannique Big Big Train rapplique également avec un nouvel album, alors le projet de Trent Reznor, How to Destroy Angels lançait finalement un disque complet (après les deux EP lancés en 2010 et 2012).
Finalement, le Texan Devendra Banhart explore également de nouveaux horizons avec le joli Mala.
Nos critiques d’albums de la semaine
Dix ans après le sous-estimé Reality, David Bowie sort de sa tannière pour nous offrir The Next Day, évocation inspirée et fort réussie de sa période berlinoise. Lire la suite >>
Il s’agit d’un rock d’inspiration 70’s, bucolique, mais avec du muscle à l’occasion. English Electric est, dans son ensemble, une célébration des travailleurs anglais, ceux qui ont travaillé sur et sous la terre, dans les champs, les ports, les villes et les villages, dixit le livret. Il s’agit d’un voyage musical aux quatre coins de l’Angleterre du 20e siècle. Lire la suite >>
Reconnu et apprécié pour son look hippie aux longs cheveux bouclés et son folk psychédélique à l’image de son look, le Texan Devendra Banhart nous arrive avec un sixième album, un nouveau look et un son également légèrement différent. Un peu éparpillé mais fort aventureux, Mala explore les genres, les langues et les cultures comme un voyage à travers le monde en 45 minutes. Lire la suite >>
Welcome Oblivion explore le pan plus ambiant de la musique de Reznor, avec la suave voix de sa femme (et ex-West Indian Girl) Mariqueen Maandig au centre de cet univers plus tempéré que Nine Inch Nails, mais parfois tout aussi angoissant. Lire la suite >>
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