Arthur H
Arthur H est d’abord un chanteur. Issu d’une famille d’artistes, il est aussi peintre et illustrateur. Il étudie au Berklee College of Music à Boston et lance son premier disque Arthur H, à l’âge de 24 ans après avoir chercher longtemps sa voie.
Il compte dans son répertoire une quinzaine d’albums dont il est l’auteur ou auxquels il a contribué, notamment Bachibouzouk (1992), Trouble-fête (1996), Pour Madame X (2000), Négresse Blanche (2003), Adieu tristesse (2005), L’Homme du monde (2008) et ses plus récents Mystic Rumba (2010), Baba Love (2011) et L’or Noir (2012). Il participe aussi, entre autres, à la compilation Cool Jazz Remix en 1991 et à la bande originale du film Inséparables en 1999.
Du 29 janvier au 2 février 2014, il présente la construction d’un rêve, un spectacle où il dévoile l’envers du décor et de sa création artistique, au Centre Phi, à Montréal.
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Arthur H est un artiste qui a gagné sa réputation par la scène avec des concerts souvent marquants, voir mémorables comme pour la tournée de 1997 pour son chef d’œuvre Trouble-Fête et qui reste incontestablement mon meilleur concert à date. Ce soir aux Francos, il vient nous présenter en concert son excellent dernier album la Vie, sorti au début de l’année.
Le samedi 11 janvier prochain, au Théâtre Rialto, plusieurs artistes de renom se trouveront réunis le temps d’un concert-bénéfice pour la protection de l’Amazonie, animé par Emmanuel Bilodeau, porte-parole de l’événement, et organisé par l’ONG Junglekeepers. Devant l’urgence écologique à laquelle nous faisons face, s’élèveront lors de ce spectacle les voix et mélodies de Safia Nolin, Brad et Andrew Barr (du groupe The Barr Brothers), Ariane Moffatt (avec Sylvia Cloutier), Arthur H, Elisapie, Salomé Leclerc, La Force, Erika Angell (Thus:Owls) et Rebecca Foon. À celles-ci s’ajoutera la musique d’un groupe formé des talentueux Mishka Stein, Robbie Kuster, Nic Basque et Sam Joly. D’autres invités-surprises viendront aussi témoigner leur soutien à cette cause incontournable.
Pour la soirée de clôture de sa 30ème édition, les Francos misaient sur une soirée spéciale pour la dernière journée. Une belle idée initiale qui s’avérera moins enthousiasmante qu’imaginée, la faute à une dynamique aux trajectoires variées entre un hommage à Plamondon rôdé et un autre à Jacques Higelin décousu…
Spectacle hommage, show de covers? Du tout ! Dans leur spectacle respectif présenté dans le cadre de la 30e édition des Francofolies, Alain Lefèvre, Yann Perreau et Ines Talbi magnifient, actualisent et surtout transmettent au public leur attachement pour André Mathieu, Jacques Higelin et Pauline Julien. Entretiens avec des musiciens animés par le travail d’artistes qui les ont précédés.
En marge d’une conférence de presse annonçant le renouvellement pour dix ans du partenariat entre l’opérateur Bell et les Francos, la soirée de clôture a été dévoilée par le responsable de la programmation Laurent Saulnier avec deux hommages à Jacques Higelin et Luc Plamondon.
Pourquoi payer pour voir un show en d’dans quand on peut se divertir à l’extérieur dans le même quadrilatère, me direz-vous ? Voici 7 bonnes raisons pour le faire.
Le 36e Festival International du Film sur l’Art, qui court jusqu’au 18 mars, met l’accent sur la musique cette année avec pas moins de 11 films sur les arts de la scène.
Qui aurait cru que la littérature pouvait se donner en spectacle, que le travail reclus des écrivains soit célébré sur une scène, et que leurs livres viennent interpeler le lecteur en direct, jusqu’à prendre la forme d’un festival annuel faisant courir les foules? C’est pourtant là le défi audacieux que relève le FIL ces jours-ci, sous la direction avisée de Michelle Corbeil, pour la 23e édition de l’événement qui se tient dans une vingtaine de lieux culturels à Montréal.
Les FrancoFolies de Montréal ont été riche en bons moments une fois de plus cette année. Nos photographes Carmen Rachiteanu, Nadia Davoli et Marc-André Mongrain ont immortalisés quelques prestations mémorables. Retour sur le festival en 59 photos.
Soir de première internationale ce vendredi à la Maison Symphonique de Montréal. Pour souligner les 25 ans du départ de l’illustre auteur-compositeur-interprète français, l’OSM a présenté la nouvelle création de Gainsbourg symphonique, sous la direction de Simon Leclerc. Un spectacle en deux temps, d’abord avec Arthur H puis Jane Birkin, valsant entre fébrilité et déception.