Résidence de la Compagnie Jean Duceppe, ce théâtre situé sous le Théâtre Maisonneuve présente plus de 200 représentations chaque année. La scène est d’une largeur exceptionnelle et la salle peut accueillir 765 personnes en ses mûrs.
Pour clore l’année 2015, le Théâtre Duceppe présente la mouture québécoise d’Une heure de tranquillité du dramaturge français Florian Zeller. Présenté originalement en 2013, en France, avec Fabrice Luchini dans le rôle du personnage principal, puis adapté l’année suivante au cinéma avec Christian Clavier en tête d’affiche, les attentes étaient grandes !
Dans l’audacieux décor d’Olivier Landreville, dix comédiens, sous la direction de Frédéric Dubois, jouent le drame ordinaire d’une famille de l’Ohio ayant perdu un fils à la guerre.
Présentée d’abord au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui en 2014, la pièce As is (tel quel) écrite et mise en scène par Simon Boudreault, est maintenant montée au Théâtre Duceppe de la Place des Arts. Sors-tu.ca était présent à la grande première le jeudi 10 septembre. Excellents comédiens dans un décor impressionnant, humour et dureté face à la réalité, mise en scène originale et dynamique, tout y est malgré quelques failles. Retour sur une pièce franche et directe.
Avec Qui a peur de Virginia Woolf?, préparez-vous à assister à un jeu de pouvoir dans lequel tous les coups sont permis. Un couple se livrera à une froide guerre psychologique, s’humiliant l’un l’autre et tentant de prendre le dessus à tout prix. On peut se demander si quelqu’un en sortira indemne, y compris le public.
Montréal en lumière dévoilait cette semaine sa programmation en vue de son édition 2015, qui se tiendra du 19 février au 1er mars 2015, dans le Quartier des spectacles, à Montréal.
Le théâtre Duceppe ouvre sa saison avec Peter et Alice, pièce de John Logan mise en scène par Hugo Bélanger. Alors que Disney a présenté leurs vies sous forme de contes de fées, la vraie histoire d’Alice et de Peter est loin d’être magique. Tous deux en grandissant ont du faire face au lourd fardeau d’avoir inspiré un personnage mythique.
Le Festival de Jazz de Montréal commence déjà à montrer ses couleurs, et ça promet. La légendaire Diana Ross, l’excentrique Rufus Wainwright, le projet Zappa Plays Zappa, Bobby McFerrin, le « Jimi Hendrix du désert » Bombino, Dianne Reeves, Tom Harrell, Escalandrum, Ginger Baker Jazz Confusion avec Pee Wee Ellis, et Farruquito font partie des noms annoncés en vue de concerts en salles.
Avec Sunderland, Serge Postigo signe sa première mise en scène chez Duceppe. D’entrée de jeu, la pièce à la sauce Full Monty nous fait vivre tout un éventail d’émotions. Présentée jusqu’au 29 mars, l’histoire de Clément Koch brille par son authenticité. Sunderland, une histoire vraie et touchante. Une pièce à voir et qui fait du bien.
La comédie de situation L’Esprit de famille réunit une impressionnante distribution qui fait rire aux éclats. À la vieille du temps des Fêtes où les soupers avec la famille et la belle-famille s’enchaineront les uns à la suite des autres, on peut dire que cette pièce est à propos. Trois frères et leur épouse se réunissent pour pendre la crémaillère, la soirée prendre vite une tournure des plus inattendues.
Le Festival international de jazz de Montréal célébrait un bien bel anniversaire, jeudi soir, au Théâtre Jean-Duceppe : Les 10 ans des Triplettes de Belleville, avec Benoît Charest et le Terrible Orchestre de Belleville. Un cinéconcert à la hauteur du succès du film.