La Société des arts technologiques, mieux connue sous le nom de la SAT, est une salle multidisciplinaire qui peut accueillir différents évènements culturels et concerts. C’est également un centre transdisciplinaire de recherche et de création. Elle est située sur la rue Saint-Laurent à Montréal, entre les rues Sainte-Catherine et René-Lévesque.
Le SAT est souvent le théâtre de concerts électroniques, de DJ sets et d’événements multimédia.
Disposant d’un système de projection immersif (la Satosphère), la SAT offre un environnement intéressant pour les créateurs numériques.
Le festival-conférence M pour Montréal, véritable vitrine pour les artisans de la musique d’ici, nous revient avec une programmation à la fois virtuelle et en personne. Du 15 au 26 novembre, les évènements seront disponibles en webdiffusion tandis que du 17 au 19 novembre, il sera possible d’assister en personne aux divers panels et concerts.
Le Festival International de Jazz de Montréal nous arrive enfin avec sa programmation complète pour sa 41e édition. Une trentaine d’artistes de renom feront leur apparition dans l’habituel Quartier des Spectacles pour des spectacles en personnes, soit sur les scènes TD et Rio Tinto.
Imaginez avoir travaillé pendant 4 ans sur un album qui verra finalement le jour en pleine pandémie, annulant ainsi votre tournée mondiale et tous les événements promotionnels que vous aviez prévu. Pour le moins… gossant. C’est ce qui est arrivé au groupe Braids, qui n’a pas baissé les bras face à la situation quand est venu le temps de faire la promotion de son excellent nouvel album Shadow Offering.
Cette année, le Red Bull Music Festival a choisi de mettre de l’avant certains artistes de l’underground montréalais en leur donnant les moyens de monter des soirées uniques où ils pouvaient se faire plaisir. Vendredi, dans le cadre de sa soirée Save the Last Dance for Me, Marie Davidson jouait à la SAT le dernier concert d’une tournée estivale qui l’a amené aux quatre coins de l’Europe.
Dans 23 lieux de Montréal, comme la Cinquième Salle de la Place des Arts, l’Usine C, le Théâtre Outremont, le Lion d’Or, la Grande Bibliothèque, la Société des arts technologiques (SAT), La Chapelle, la Maison Théâtre, le parc du Mont-Royal et bien d’autres, ainsi que dans 25 librairies partout au Québec, la littérature se déploiera dans un kaléidoscope de formes et de propositions, dont de nombreuses créations originales.
À l’état de bourgeon au printemps de l’an 2000, le festival MUTEK (20 au 25 août 2019) s’est progressivement épanoui à travers ses deux décennies d’existence pour devenir une vitrine essentielle pour la musique électronique et la performance audiovisuelle, formes créatives en perpétuelle évolution. Occupant une place unique sur le continent, MUTEK se présente comme un pôle artistique international tout comme un incubateur de talents locaux.
La Société des Arts Technologiques (SAT) lançait samedi dernier sa nouvelle série de partys thématiques sous le dôme de la Satosphère. Cette première soirée, intitulée « Spécial Oqult », s’est déroulée sous le signe de la nostalgie des premiers raves des années 1990.
Après sa première monture de « Quiet River of Dust », Richard Reed Parry fait son grand retour sur disque, et évidemment sur scène dès aujourd’hui. Soulignant la parution du 2e volume dans le cadre de l’édition 2019 du Festival International de Jazz de Montréal (FIJM), le Canadien renouvelle l’expérience immersive jouée en automne dernier sous la satophère de la Société des Arts Technologiques (SAT). Et que dire, si ce n’est que le multi-instrumentiste est un artiste fabuleux.
La SAT propose jusqu’au 27 avril la nouvelle création de Dana Gingras, intitulée « Chute libre ». La chorégraphe (Holy Body Tattoo, Animals of Distinction) et cinéaste (Chainreaction) investit le dôme immersif de la satosphère pour plonger le spectateur dans une expérience physique de transcendance et de vertige. Une chute libre dans la poésie des mots (de Marie Brassard), du mouvement et des rythmes (musique de Roger Tellier-Craig), présenté comme un « film immersif » sous la direction de Dana Gingras.
Une trentaine de personnes s’est assise sur les divers formats de Fat Boys étalés sous le dôme de la Satosphère et a sorti crayons et cahiers, prête à dessiner comme de gros enfants, aux sons planants du nouvel album de Koala et d’une sélection de ses chansons préférées au monde.