Plus grande scène multifonctionnelle au Canada, la Salle Wilfrid-Pelletier est également la principale salle de la Place des Arts de Montréal. Elle est dotée de tout près de 3000 sièges et accueille tout genre de spectacle, allant de la danse au concert symphonique.
D’ailleurs, l’Orchestre symphonique de Montréal, les Grands Ballets Canadiens de Montréal ainsi que l’Opéra de Montréal y trouve leur résidence.
L’auteur-compositeur-interprète britannique et guitariste du groupe Genesis, Steve Hackett, était de passage à la Place des Arts jeudi soir, afin d’interpréter des chansons de sa carrière solo ainsi que de l’album classique de son groupe, The Lamb Lies Down On Broadway (en 1974). Notre photographe Pierre Montminy s’y trouvait. Retour en photos.
Souvent qualifié d’« opéra des opéras », cette monumentale œuvre de Mozart, l’une de ses plus célèbres, mérite sa réputation. On y retrouve certaines des plus belles arias du compositeur dans le cadre de l’un des canons du répertoire lyrique classique. Mais avec la réputation viennent les défis : le public arrive sur place avec de fortes attentes et se révèlera nécessairement plus exigeant qu’à l’habitude. La troupe de l’Opéra de Montréal aura néanmoins relevé le défi avec bravoure dans la cadre d’une proposition habilement leadée par sa distribution.
La comédie musicale & Juliet, qui connaît un succès immense sur Broadway depuis quelques années, sera présentée à Montréal pour la première fois du 17 au 22 mars 2026. La salle Wilfrid-Pelletier, à la Place des Arts, accueillera les 8 représentations qui se feront en anglais.
La 47e édition des Galas de l’ADISQ approche, et les nominations sont maintenant connues, dressant le portrait d’une scène en pleine effervescence, où se côtoient grands noms établis et artistes en pleine ascension. En tête des nominations : Lou-Adriane Cassidy, Klô Pelgag, Pierre Lapointe et Jay Scøtt, chacun récoltant six mentions artistiques. Ils sont suivis de près par Avec pas d’casque, Fredz et Roxane Bruneau, confirmant l’équilibre entre figures incontournables et talents émergents.
Peut-être qu’en ce moment, une rétrospective musicale sur la fondation des États-Unis et de sa constitution n’est pas dans vos intérêts. Pourtant, il peut être bon de se rappeler que ce pan de l’histoire a un jour été associé à la liberté, la persévérance, l’ambition, la justice, l’égalité des chances, la diversité, et la valeur de l’immigration. Que vous soyez ou non fan de comédies musicales, Hamilton a le pouvoir de vous le remémorer avec panache. Et quand on sait qu’au début de l’année, la troupe a annulé ses représentations au Kennedy Center de Washington pour protester contre la mainmise de Donald Trump sur ce lieu, un soutien discret, mais assumé envers la liberté artistique est plus que jamais nécessaire.
Les concerts du projet Les studios Marvel : La saga infinie, présentés par l’orchestre Filmharmonique de montréal, ont eu lieu dans la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts les 15 et 16 août 2025. Lors du concert, le public écoute l’orchestre Filmharmonique interpréter divers morceaux qu’on peut entendre dans les films Marvel, le tout est accompagné d’un montage vidéo mettant en valeurs différents super-héros ainsi que leurs moments marquants.
Les 15 et 16 août 2025, l’Orchestre FILMharmonique proposera deux représentations d’un concert revisitant les moments les plus marquants de l’univers cinématographique Marvel. Pendant cette prestation de deux heures avec entracte, le public pourra voir les moments clés des films Marvel sur grand écran, d’Iron Man à Avengers Endgame en passant par Thor ou Captain America, le tout avec de la musique jouée en direct devant l’écran par l’Orchestre Filmharmonique. Sors-tu? s’est entretenu avec le co-directeur artistique et chef d’orchestre Francis Choinière pour en savoir plus au suje de ce concert, mais aussi sur l’Orchestre FILMHarmonique.
Beck symphonique. Ces deux mots sur papier engendraient à eux seuls des attentes presque inatteignables. Et pourtant, le génialissime gringalet californien est parvenu à être à la hauteur, solidement appuyé par l’Orchestre Métropolitain dans un grand concert pop symphonique des grandes occasions, dont on se souviendra longtemps.
19h31 hier, le 2 juillet. Pas une minute de plus. Les lumières se baissent dans la magnifique salle Wilfrid-Pelletier, et déjà, on sent que la soirée va être millimétrée. Pas de changement de plateau, pas de fioritures. Juste la musique, dans sa forme la plus directe. C’est aussi ça, l’éclat du Festival de Jazz : faire jazzer toutes les musiques, jusqu’à celle d’un chanteur folk, seul sur scène. Et pourquoi pas?
C’était de loin l’événement le plus attendu de cette édition 2025 du FIJM : Nas s’invitait à la salle Wilfrid-Pelletier en compagnie de son orchestre philarmonique (et non pas symphonique, quoiqu’en disent les posters) les 28 et 29 juin. J’ai assisté à la première des deux.