Le plus grand festival queer au Québec est de retour pour une 19e édition du 31 juillet au 10 août. N’ayez crainte : le Défilé est bel et bien encore une fois de retour. Reste à savoir si Mark Carney ira y faire un tour comme Justin Trudeau le faisait si souvent. Pour le reste, l’offre est particulièrement touffue cette année.
Le festival ottavien CityFolk annonçait cette nuit sa programmation en vue de l’édition 2025 qui se tiendra du 10 au 14 septembre, sur la grande pelouse du parc Lansdowne à Ottawa.
Pour son édition 2025, le festival estrien a sorti l’artillerie lourde pour une intéressante programmation 100% gratuite présentée au centre-ville de Sherbrooke du 3 au 5 juillet. Ce sont au total une soixantaine d’artistes qui se relayeront sur les différentes scènes extérieures ou intérieures du festival dans une ambiance festive et familiale.
Le festival est de retour à Québec du 13 au 15 ainsi que le 21 juin. Les festivaliers pourront une fois de plus aller à la rencontre des 11 Nations autochtones québécoises et s’imprégner de leurs riches cultures dans le cadre d’activités conviviales et variées pour toute la famille.
Oh que ça lui tentait pas… Dame Nature n’avait visiblement pas eu le mémo que la saison des festivals au Québec débutait le vendredi 9 mai cette année. Qu’à cela ne tienne, c’est pas des averses et du froid qui allait arrêter Santa Teresa. Ni P’tit Belliveau. Ni The OBGMs, VioleTT Pi ou Le Prince Harry.
De passage à Montréal (Laval) à la Place Bell en ce mercredi soir, le groupe est venu présenter Loaded: The Greatest Hits Tour, ou comme ses détracteurs aimeraient bien questionner « C’est quoi, ils vont jouer Glycerine en boucle pendant une heure et demi? »
Il ne faut jamais prendre pour acquis le grand Nick Cave. Ses présences à Montréal ont beau être fréquentes, chaque occasion est à savourer et nous rappellent qu’il vaut le coup d’aller le voir à chaque fois, parce qu’il vieillit comme le bon vin.
Le post-punk était à l’honneur hier soir, le 22 avril 2025, au défunt Corona pour The Last Goodbye, la tournée d’adieu de Gang of Four – ou du moins ce qu’il en reste – soulignant également les 45 ans d’Entertainment!, son mythique premier album.
L’artiste émergente québécoise Gawbé a dévoilé le 21 février dernier son tout premier album, l’endroit l’envers. Cet album résolument rock reflète les dualités du monde qui l’entoure. Porté par un esprit de camaraderie, ce projet audacieux, décontracté, chaleureux et percutant marque une nouvelle étape dans l’évolution artistique de Gawbé.
Une guitare, une basse et une batterie. C’est tout. Et sans aucun effet de pédale, qui plus est. Voilà les contraintes de composition que s’est imposé Daran durant la conception de son Grand Hôtel Apocalypse, onzième album en carrière lancé cet automne. Le rockeur français, père de Dormir dehors, viendra défendre les couleurs de son nouveau projet ce samedi au Cabaret Lion d’Or dans le cadre du festival Coup de cœur francophone.
À quelques jours du début de sa tournée nord-américaine — qui s’arrêtera au MTELUS le dimanche 13 octobre 2024 — et de la réédition de son premier album solo (avec The Healers), Boomslang, l’ex-guitariste de The Smiths, Johnny Marr, nous accordait une vingtaine de minutes de son temps au téléphone. Le hasard a voulu que la discussion ait lieu au début d’une semaine où le rock de Manchester (re)devenait le sujet hot de l’heure…
Avec son projet instrumental Axlaustade, Dumas nous dévoilait une facette de sa personnalité musicale insoupçonnée : son amour pour le shoegaze et le rock alternatif des années 1990, notamment les Smashing Pumpkins. Dans le cadre de la série balado Big Shiny Tounes, nous l’avons invité à explorer ce rapport nostalgique au groupe de Billy Corgan, particulièrement à l’album Siamese Dreams, qui fêtait ses 30 ans l’an passé et qui l’a profondément marqué.