Geneviève Lavigne
CollaboratriceFervente de musique et de cinéma, elle est une véritable chasseuse de trésors et est en constante exploration pour découvrir des nouveaux artistes. Lorsque Geneviève a un coup de coeur, c'est avec une grande passion qu'elle prend plaisir à partager ses découvertes (et elle le fait parfois de façon un peu trop obsessive).
Elle affectionne particulièrement la musique indie, le rock alternatif et les beats électros qui la font danser. Made in MTL, un atout!
Critique spectacle | Future Islands au Métropolis
La formation rock indépendante Future Islands s’est donnée en spectacle hier soir sur les planches d’un Métropolis plein à craquer. Retour sur une performance coup-de-poing qui a certainement mis K.O. plus d’un spectateur.
Festival de Jazz de Montréal 2014 – Jour 11| Bonobo au Métropolis
Le Métropolis accueillait hier soir le producteur, compositeur et DJ Anglais Simon Green, alias Bonobo, dans le cadre du Festival Internationale de Jazz de Montréal. Bien heureusement, le public montréalais a eu droit à une performance live de l’artiste, à l’opposé d’un DJ set traditionnel. Accompagné de ses musiciens, Bonobo a donné un spectacle fort divertissant aux couleurs variées.
Festival de Jazz de Montréal 2014 – Jour 10 | St. Vincent et Groenland au Métropolis
Le Festival International de Jazz de Montréal accueillait hier soir au Métropolis le groupe montréalais Groenland et la new-yorkaise Annie Clark (St. Vincent de son pseudonyme), suite à leur passage au Festival d’été de Québec. Un programme double étonnant, mais non mois prometteur, qui a immergé le public dans deux univers totalement opposés, passant d’une pop folk mélodieuse à un électro-rock ravageur issu d’un autre monde.
Critique | Owen Pallett à la Sala Rossa
En tournée avec Arcade Fire depuis janvier, le violoniste Owen Pallett s’est posé hier soir à la Sala Rossa pour présenter quelques pièces de son nouvel opus, In Conflict, qui sortira prochainement, ainsi que quelques titres tirés des ses précédents albums. Un spectacle intime qui présentait l’univers contrasté d’un artiste ambitieux.
Critique | Chromeo au Théâtre Corona
Après leur passage remarqué la semaine dernière au célèbre talk show américain Jimmy Kimmel, les deux Montréalais qui forment le groupe Chromeo se sont produits en terrain familier, hier soir, sur la scène du théâtre Corona. Les deux acolytes ont donné un spectacle électrisant, devant un public qui groovait sans inhibitions.
Critique album | Modern Rivals – Cemetery Dares
La jeune formation brooklynoise Modern Rivals lançait cette semaine son premier opus, Cemetery Dares. Malgré que son titre évoque un univers musical plutôt funeste et sombre, l’album propose au contraire des pièces pop rythmées et enthousiastes, parfaites pour accueillir la saison estivale.
Critique | Groenland au Théâtre Corona
Jeudi soir, la formation montréalaise Groenland s’est produite en territoire familier au Théâtre Corona. Malgré ce que le nom du groupe suggère, l’univers musical du sextuor n’a rien de frileux: seule la voix riche de la chanteuse Sabrina Halde suffit pour orner la salle d’un soul pop bien endossé.
Critique | Sam Roberts Band au Lion d’Or
Hier soir avait lieu au Lion d’Or le lancement du dernier album de Sam Roberts Band, Lo-Fantasy. C’est devant une foule exaltée que les Montréalais ont interprété l’ensemble de leurs nouvelles créations, dans l’ordre qu’elles figurent sur l’album, ainsi que quelques succès inévitables. Le groupe a livré un spectacle à la fois explosif et modeste, avec une aisance marquante.
Critique album | Sam Roberts Band – Lo-Fantasy
Étant à sa sixième sortie d’album, Sam Roberts Band a déjà fait ses preuves. En introduisant Lo-Fantasy, le groupe montréalais réussi à surprendre avec un son groovy aux airs électroniques, un univers musical peu expérimenté auparavant par Roberts et sa bande, mais qu’ils maîtrisent sans aucun doute avec brio.
Critique album | Bombay Bicycle Club – So Long See You Tomorrow
Après un remarquable accomplissement de trois albums en trois ans, le groupe britannique Bombay Bicycle Club propose son quatrième opus, So Long, See You Tomorrow, une oeuvre manifestement plus travaillée et complexe, inspirée par les multiples voyages du quatuor autour du monde. Le groupe signe un album éclectique, ambitieux et sans aucun doute plus électronique que ses prédécesseurs.