L’ensemble allemand de danse contemporaine tanzmainz, du Staatstheater Mainz, ne s’était jamais produit au Québec jusqu’à hier, mais c’est sans rancune. Après les 55 minutes bien serrées de Soul Chain, on saisit l’ampleur de leur réputation, et surtout la prouesse que représente l’œuvre de Sharon Eyal et Gai Behar, récipiendaire en 2018 du prestigieux prix allemand Der Faust.