Dans la littérature universelle, il n’existe qu’un seul François Rabelais. Et c’est tant mieux, diront certains. Même que pour ceux s’apparentant à cette œuvre si particulière, on a créé le vocable rabelaisien, et même pantagruélique. L’auteur français du 16e siècle, dont les thèmes favoris de ses créatures romanesques sont de s’empiffrer de bouffe sans jamais se rassasier, et du transit digestif détaillé qui en découle, fait la joie du public étudiant du Théâtre Denise-Pelletier qui en découvre les couleurs.