Maxime Auguste
Homme des ruelles de Montréal (et descendant des Îles-de-la-Madeleine) Maxime Auguste chante la solitude, l’amour et la sexualité. Amoureux des mots, sa plume passe de l’insolite au mélancolique avec une authenticité désarmante. Simples, sans être simplistes, ses chansons country-folk-feutré-urbaines sont livrées avec aplomb, sourire en coin et une sympathique arrogance. Son mini-album Prendre la fuite, lancé en 2015, s’est taillé une place sur les ondes radios de Montréal, Québec, Sherbrooke ainsi qu’en Ontario et aux États-Unis. En 2016 et 2017, on a pu l’entendre en 1re partie de Joseph Edgar et de David Jalbert. Il a également participé à plusieurs événements dont les FrancoFolies de Montréal, les Francouvertes, le Festival de la chanson de Tadoussac, le Cabaret du Festif! et le Festival Grande Tribu. L’hiver dernier, il a momentanément fait escale du côté du théâtre et composé la musique du spectacle « L’Enfance de l’Art – Les Doigts d’auteurs de Marc Favreau » de la compagnie Ex-Libris. Son nouvel album « Des cordes à linge, des dépanneurs » est attendu pour 2018.
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L’événement gaspésien aura donc lieu comme il se doit, du 28 juin au 7 juillet 2018, et mettra en valeur le dynamisme de la chanson québécoise, fidèle à son habitude.
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Sors-tu.ca a eu l’occasion d’étudier les 21 dossiers des participants sélectionnés, lors d’une session d’écoute pizza-bière-musique en compagnie de nos bons amis de Bible urbaine et du Canal Auditif.
Derrière ce nom de philosophe antique se cache un auteur-compositeur-interprète originaire des Îles-de-la-Madeleine, maintenant installé à Montréal. On comprend donc que Prendre la fuite, c’est à la fois l’arrivée d’un Madelinien arrivé dans la grand’ ville et les récits d’un adepte de voyage, qui nous chante autant ses impressions des ruelles de Montréal que celles de Dallas, ou encore la fois où il est resté cloué à l’Aéroport Trudeau par une nuit de tempête de neige.
