D’abord connu sous le nom de Galaxie 500, le groupe montréalais désormais nommé simplement Galaxie a été formé en 2002.
Avec le chanteur et guitariste Olivier Langevin à sa barre, Galaxie a 5 albums à son actif: Galaxie 500 en 2002, Le Temps au point mort en 2006, Tigre et diesel en 2011, Zulu en 2015 et Super lynx deluxe, paru au début de 2018.
Le groupe a obtenu de nombreuses disctinctions au fil des ans: Tigre et diésel a été en nomination pour le Prix Polaris en 2011 alors que Zulu a permis au groupe de remporter les Félix de l’album alternatif de l’année et du groupe de l’année en 2015.
C’est la semaine de l’ADISQ, avec le grand Gala de l’ADISQ ce dimanche soir à la Place des Arts (télédiffusé sur les ondes de Radio-Canada), ainsi que le Premier Gala ce soir (mercredi, à Télé-Québec). La Bonnefemme (Marie-Ève Saucier) et le rédacteur en chef Marc-André Mongrain seront sur place dimanche soir afin de préparer un petit podcast sympathique avec des entrevues avec les gagnants, des défis et… un petit pool amical!
Le SP Show affichait complet samedi soir au Club Soda. C’est donc dire que tous les billets à vendre ont trouvé preneurs, et que Sophie Berriault et son équipe ont maximisé l’opportunité d’amasser des fonds pour aider à financer la recherche sur la sclérose en plaques. Était-ce la première édition d’un événement annuel à succès? Le temps le dira. Mais en attendant, Lisa LeBlanc, Klô Pelgag, Safia Nolin, Galaxie et plusieurs autres artistes s’étaient donné rendez-vous pour une grande fête musicale.
C’est Pierre Lapointe, Philippe Brach, Hubert Lenoir, Loud, Isabelle Boulay et Marc Dupré qui mènent la course aux nominations artistiques aux prochains Galas de l’ADISQ. En tout, ce sont 109 artistes et 76 artisans et professionnels qui sont nommés cette année. Retrouvez tous les détails, sur palmarèsADISQ.ca dès maintenant.
Le FME peut dormir tranquille et garder la tête haute, après seize années d’existence aucun signe d’essoufflement n’est perceptible à l’horizon. Ayant enregistré un record d’affluence hier au show hip hop sur la scène extérieure avec un public composé de 4 200 festivaliers, chaque journée suffit sa peine pour tirer profit d’une programmation riche et tellement variée. Parmi les moments forts des deux derniers jours, force est de souligner le retour de Karkwatson, les émulsions de Klaus, Teke Teke et les deux apparitions tonitruantes de Galaxie.
La recherche sur la sclérose en plaques a une nouvelle alliée de feu qui oeuvre dans le milieu du spectacle : Sophie Berriault. Impliquée dans le milieu de la musique depuis près de 15 ans, Sophie a dû fermer l’agence qu’elle avait fondée après avoir appris qu’elle était atteinte de la terrible maladie qui attaque l’axe cérébro-spinal. Mais plutôt que de baisser les bras, elle a plutôt décidé de mettre sur pied un spectacle-bénéfice pas piqué des vers.
Pour sa neuvième édition, le Festif! de Baie-St-Paul ne pouvait pas espérer mieux. Pouvant compter sur une météo parfaite et une programmation de qualité, l’édition aura accueillit près de 38 000 festivaliers, un record selon les organisateurs. Retour sur quatre jours de folie qui ont renforcé la réputation de ce festival devenu incontournable au Québec.
Faites le plein de votre char, sortez votre bicycle à gaz et partez de Montréal à la découverte de festivals. Pour guider votre route, voici quelques arrêts festifs, et leur distance de la métropole jusqu’à destination, d’ici la fin de l’été.
La formation mot-valise composée de membres de Karkwa et de Patrick Watson foulera la scène au Festival de musique émergente (FME) en Abitibi-Témiscamingue. Une première en dix ans!
Après trois premiers soirs intenses, les Francos ont baissé la cadence pour ce lundi. Malgré tout, il y eut des concerts forts plaisants tout autour du Quartier des Spectacles avec notamment Zen Bamboo qui en aura étonné plus d’un. Récit d’un nouveau parcours aux scènes extérieures.
Le 28 juin prochain, commencera le 36e Festival en chanson de Petite-Vallée, une édition sans la Maison Lebreux ni le Théâtre de la Vieille Forge. Ces endroits sinistrés, les artistes-passeurs Marie-Pierre Arthur et Louis-Jean-Cormier les connaissaient comme leur propre demeure.