Située sur le boulevard Saint-Laurent, la Sala Rossa est une salle intime de 250 places. Elle fait partie d’un édifice historique juif construit en 1932. Avec sa programmation très diversifiée, la Sala Rossa est l’endroit tout indiqué pour réchauffer votre soirée !
Le festival automnal nous a habitué à travers les années à des programmations qui vont dans tous les sens. 2025 ne fera pas exception, alors que le lineup d’artiste tirera autant sur les petits artistes du Mile-End que sur… Michel Pagliaro? Why not! La prochaine édition de Pop Montréal se tiendra du 24 au 28 septembre, voici à quoi vous attendre.
Ce concert, présenté hier soir, le 20 mai 2025, était organisé par le festival Flux, mais en dehors de sa programmation régulière. Flux regroupe diverses organisations qui se consacrent à la musique nouvelle : Arts aux marges, Innovations en concert, Mardi Spaghetti, Réseau Canadien pour les Musiques Nouvelles, Interzone Editions et No Hay Banda. Cette soirée en est un parfait exemple, avec une première de l’œuvre collective Dans les ombres dansent des figures lumineuses par l’Ensemble Déplacer d’l’air.
Satoko Fujii et son Tokyo Trio ont offert une performance où l’expérimentation sonore et la recherche de nouvelles textures musicales se sont entremêlées harmonieusement. Reconnue mondialement comme une artiste prolifique et avant-gardiste, Satoko Fujii est l’une des figures majeures du jazz contemporain.
Wow, quel bonheur de pouvoir assister à un concert de cette trempe dans une salle aussi intime que la Sala Rossa. Parce qu’Adrian Younge, ce n’est pas n’importe qui, vous savez (peut-être pas, hein). Un artiste qui est tombé sur le radar de votre scribe il y a de cela une douzaine d’années grâce à son album Twelve Reasons to Die (mettant en vedette nul autre que Ghostface Killa du Wu-Tang Clan), qui avait connecté avec le fan des trames sonores des films de Quentin Tarantino.
Le spectacle-lancement de l’album Quand je pleure, je suis content de Velours Velours a complètement conquis La Sala Rossa à son comble, hier soir. Ce premier album de Velours Velours paru en janvier dernier a pris vie sur scène dans une ambiance intime où confessions et vulnérabilité étaient au rendez-vous.
Hier soir La Sala Rossa honorait les 51 années de vie du groupe, Ethnic Heritage Ensemble. Originaire de Chicago, le collectif de musique jazz reste fidèle à lui-même en présentant sa tournée annuelle dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, soit Heart & Soul Tour 2025.
Le compositeur et pianiste canadien d’origine palestinienne, John Kameel Farah, a été au cœur d’une soirée où sa créativité musicale a incarné une convergence entre art et humanité, deux valeurs de plus en plus marginalisées dans le paysage politique actuel. Pour Farah, c’était aussi l’occasion de témoigner son soutien aux organisations culturelles et caritatives palestiniennes, qui avaient pour l’occasion établies pignon sur rue dans la Sala Rossa.
La violoniste Sarah Neufeld, le contrebassiste Richard Reed Parry et la violoncelliste Rebecca Foon nous ont livré une performance envoûtante devant un public nombreux et conquis. Aux croisements du néo-classique, de la musique de film et de l’expérimentale, ils ont emmené le trio de cordes au-delà du cadre classique.
Quand je pleure, je suis content, le nouvel album de Raphaël Pépin-Tanguay, que vous connaissez sûrement sous l’alias de Velours Velours, est sorti ce matin sur toutes les plateformes. Il s’agit du premier album complet du jeune, mais très prometteur artiste ayant déjà livré à son public des singles et des EP ayant reçu bien des éloges. Projet sur lequel il travaille plus sérieusement depuis deux ans déjà, les neuf chansons ont été réfléchies avec minutie afin qu’elles s’écoutent comme un tout, d’une traite.