Critiques Concerts et spectacles à Montréal et Québec
Pagan Fest 2013 | Ensiferum et Tyr sonnent la charge au Métropolis
En l’honneur du métal païen et viking, le Pagan Fest America passait par Montréal ce jeudi soir. Une soirée un peu longue au Métropolis, dominée par l’excellente prestation de Ensiferum.
Critique | Réal Béland au Théâtre St-Denis de Montréal
Réal Béland effectuait sa rentrée montréalaise jeudi soir dans un Théâtre St-Denis 2 qui affichait complet pour l’occasion.
Critique | Mindless Self Indulgence à Montréal
C’est avec un son of a bitch! bien senti, premières paroles de Witness, que Jimmy Urine, le chanteur hyperactif du quatuor, a lancé la soirée, tout de blanc vêtu, les cheveux fraîchement bleachés, d’énormes lunettes de soleil sur le nez et une pancarte « fuck you » à la main. Du MSI tout craché… littéralement.
Critique | Anberlin au Théâtre Corona de Montréal
Que ce soit avec Bad Captain, Paper Route ou Anberlin, les amateurs de musique en ont eu pour leur argent, au Théâtre Corona Virgin Mobile mardi soir. Trois excellents groupes ont offert des performances solides et la bonne humeur contagieuse des groupes et de la foule a fait de cette soirée une réussite, du début à la fin!
Critique | Diamond Head aux Foufounes Électriques
Les légendaires membres du groupe Diamond Head ont enflammé Montréal ce lundi soir, alors que le trio torontois Cauldron a livré la prestation la plus puissante du jour. Quoi de mieux qu’une bonne dose de heavy métal pour bien commencer la semaine !
Critique | Parkway Drive et invités au Métropolis de Montréal
Une longue soirée, regroupant quatre formations, qui aura visiblement permis à la foule d’user ses chaussons jusqu’à la corde, mais comprenant tout de même son lot d’imperfections.
Critique album | Groenland – The Chase
Le groupe nous offre un délicieux mélange de ukulélé, de violon et de violoncelle, sans compter les quelques passages au piano. Il faut souligner que la formation jazz de la chanteuse se perçoit dans sa voix soul et dans la justesse de ses intonations, particulièrement dans les chansons 26 septembre et Immune.
Critique album | Iron & Wine – Ghost on Ghost
Bien malaisée serait la personne à qui l’on demanderait de décrire en quelques mots la musique d’Iron & Wine. Depuis le premier album en 2002, la formation – qui est en réalité un véhicule pour l’auteur-compositeur-interprète Samuel Beam, qui s’entoure de musiciens différents au gré des albums et des tournées – n’a eu de cesse d’évoluer au plan sonore, passant d’un folk lo-fi enregistré dans un salon à un travail riche en studio.
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