Critique et photos | Primus and The Chocolate Factory au Métropolis
Il y avait de la fébrilité dans l’air mercredi soir au Métropolis de Montréal. Le public attendait impatiemment la formation californienne, certains spectateurs allant même jusqu’à scander «Primus sucks»! Mais cela était de bon cœur, puisque les Montréalais semblaient très emballés de revoir le groupe. Il faut dire que leur dernier passage à Montréal remontait déjà à 2011.
Primus ne fait jamais les choses comme les autres et ce concert ne fait pas exception à la règle; il n’y avait pas de première partie et le spectacle était présenté en deux segments, interrompu par une pause de trente minutes.
La première portion était l’acte plus rock, c’est-à-dire que Primus a joué quelques-uns de ces plus grands succès au grand bonheur des spectateurs réunis au Métropolis.
La deuxième partie du spectacle, celle basée sur la bande originale du film Willy Wonka and the Chocolate Factory («Charlie et la chocolaterie»), était beaucoup plus spectaculaire. Lorsque le rideau s’est levé, le décor avait changé; il y avait deux énormes champignons, un écran géant sur lequel étaient projetées des images du film de 1971, des friandises et des parapluies.
Le batteur était vêtu de blanc, tel un Oompa Loompa, et le bassiste portait un masque. Le Fungi Ensemble était également présent. Leur apport au spectacle était sublime, agrémentant à la perfection la réinvention de Primus de la fameuse chocolaterie.
De plus, des Oompa Loompas étaient également présents sur la scène. Après le titre Pure Imagination, Claypool a disparu afin de revenir sous les traits du célèbre Willy Wonka, au grand bonheur de a foule.
Consultez la critique complète d’Isabelle Lareau (ainsi que d’autres photos) sur Bible urbaine.
- Artiste(s)
- Primus
- Ville(s)
- Montréal
- Salle(s)
- Métropolis - MTELUS
- Catégorie(s)
- Alternatif, Rock,
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