Critique album: Maroon 5 – Overexposed

Des rythmes pop accrocheurs mélangés à la voix particulière et haut perchée d’Adam Levine, voilà ce qui fait le succès de Maroon 5 depuis ses débuts en 2002. Ceux qui s’attendaient à un renouveau avec le quatrième album du groupe, Overexposed (on avait promis une « renaissance »), rêvaient évidemment en couleur. Cependant, on y retrouve encore et toujours la même formule gagnante.

Déjà, les extraits Payphone et One More Night ont annoncé les couleurs d’Overexposed, et le reste de l’album est à l’image des trois précédents : ballades romantiques, chansons pop énergiques. La chanson Daylight réussit à nous surprendre un peu avec une tonalité de voix de Levine qu’on est peu habitué à entendre. Ceux qui trouvent le chanteur habituellement agressant pourront y trouver leur compte!

La pièce Ladykiller sort un peu du cadre avec une partie instrumentale moins « carré ». Rien pour vraiment se démarquer toutefois. Bref, une formule gagnante qui ne réinvente pas la roue, mais qui plaira à coup sûr à celles qui rêvent de se faire chanter la pomme par un Adam Levine en torse nu!