Jérôme Daviau
collaborateur
Amateur de musique et de concerts, guitariste raté, j'aime partager mes expériences de concerts et mettre en avant la riche scène montréalaise, jazz et autres.
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Photos de Jérôme Daviau
Lune très belle
Julien Fillion
Julien Fillion
Julien Fillion
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Office Dog
Nada Surf
Nada Surf
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En ouverture de cette soirée Pop Montréal, c’est la joie communicative de Basia Bulat que l’on a pu partagé sur le toit du Rialto avec le Mont Royal au soleil couchant en toile de fond pour une expérience unique. Ensuite la personnalité lumineuse de Beverly Glenn-Copeland nous offre un spectacle hors de l’ordinaire au théâtre Rialto.
Ce samedi soir, c’est le groupe hommage le plus réputé du genre The Australian Pink Floyd Show qui joue devant une Place Bell pleine. Les dix musiciens sont accompagnés d’impressionnants jeu de lumières et de structures gonflables. Ils nous livrent un concert de plus de deux heures, souvent nostalgique évidemment, mais aussi ironique avec une touche de modernité et une grosse dose de fierté purement australienne.
Ce n’est pas tous les jours qu’on a le plaisir d’entendre sur scène le répertoire du légendaire et regretté Frank Zappa. Depuis l’annulation de la tournée du fils Dweezil Zappa, en 2020, pour cause de pandémie, c’était la disette de Zappa au Québec. Ce vendredi, c’est avec la formation The Bongos Furious que l’exigeant répertoire de Zappa nous était joué. Un ensemble de haute tenue avec des musiciens talentueux, dont l’excellent batteur Chad Wackerman, qui a joué avec Zappa de 1981 à 1988, et la jeune percussionniste Pauline Roberts, qui a admirablement rempli le difficile emploi de jouer les parties complexes de Ruth Underwood, la mythique vibraphoniste de Zappa.
C’est dans une salle Wilfrid-Pelletier pleine à craquer que Norah Jones nous a offert ce mardi une prestation impeccable, accompagnée d’une formation de haut niveau où les voix ont pris toutes leurs places sur les titres aux accents soul et pop de son dernier album Visions.
Stanley Clarke est un bassiste de jazz au style particulier avec une signature très personnelle. Ce soir, devant un théâtre Maisonneuve rempli, accompagné de jeunes musiciens talentueux, il a confirmé son statut de vedette de la basse avec panache, vigueur et grands gestes mais souvent au détriment de la musicalité.
Galaxie a offert Galaxie a offert une soirée dansante au son de son rock énergisant ce vendredi, dans un MTelus plein qui ondulait vigoureusement des hanches.
Après un premier lancement la semaine dernière au Pantoum de Québec, c’est au tour de Montréal d’avoir son lancement et de découvrir l’album J’ai pas d’visite de Sandra Contour et ses chansons intimistes avec une grande formation.
C’est une constante avec Joe Grass : quelle que soit la formation avec laquelle il joue, il va nous surprendre. Et cette soirée n’a pas fait exception! En duo avec le talentueux percussionniste et batteur Robbie Kuster, il nous a présenté de nouvelles versions de son dernier album, Falcon’s Heart, aux accents country et folk. Le duo s’est même aventuré dans des titres très rock et particulièrement énervés, qui ont fait notre bonheur.
Dans le cadre de sa tournée Hell in the Hallway World Tour, la talentueuse Hannah Wicklund s’est arrêtée à l’Esco ce samedi et nous a livré une belle performance, devant une salle comble et surchauffée. La jeune femme nous a autant montré toute la maîtrise de sa guitare que sa magnifique voix.
Le dernier album Zuma 85 de la formation Allah-Las est intéressant : ses arrangements inventifs montrent du potentiel. Est-ce qu’on retrouve cet intérêt sur scène? Divulgâcheur : non, absolument pas. Le groupe a enchaîné des titres uniformes, pour un concert qui brille par sa platitude.