Jérôme Daviau
collaborateur
Amateur de musique et de concerts, guitariste raté, j'aime partager mes expériences de concerts et mettre en avant la riche scène montréalaise, jazz et autres.
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Photos de Jérôme Daviau
Julien Fillion
Julien Fillion
Julien Fillion
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Office Dog
Nada Surf
Nada Surf
Nada Surf
Simon Angell
Simon Angell
The Furious Bongos
The Furious Bongos
Ça faisait longtemps que Nada Surf ne s’était pas arrêté dans la métropole après les annulations du à la Covid 19. C’était fort plaisant de les retrouver enfin ce lundi soir devant un public de jeunes et de moins jeunes, jouant aussi bien des vieux titres de Let Go que du dernier album Moon Mirror avec une touchante honnêteté.
L’Orchestre National de Jazz de Montréal nous a habitués à un travail irréprochable avec des collaborations souvent surprenantes et originales. Jeudi soir, la formation de 17 musiciens jouait les compositions du compositeur et contrebassiste Michael Formanek.
Pour le vingtième anniversaire de la sortie mondiale de No Cities Left, The Dears ont fait les choses en grand en complétant leur formation rock de base d’un quatuor à cordes et d’un quintette de cuivres pour un rendu très proche du disque, l’énergie du concert en plus. Il y eut ensuite la relecture bien sage de Set Yourself on Fire qui fêtait également ses vingt ans par le groupe Stars.
En ouverture de cette soirée Pop Montréal, c’est la joie communicative de Basia Bulat que l’on a pu partagé sur le toit du Rialto avec le Mont Royal au soleil couchant en toile de fond pour une expérience unique. Ensuite la personnalité lumineuse de Beverly Glenn-Copeland nous offre un spectacle hors de l’ordinaire au théâtre Rialto.
Ce samedi soir, c’est le groupe hommage le plus réputé du genre The Australian Pink Floyd Show qui joue devant une Place Bell pleine. Les dix musiciens sont accompagnés d’impressionnants jeu de lumières et de structures gonflables. Ils nous livrent un concert de plus de deux heures, souvent nostalgique évidemment, mais aussi ironique avec une touche de modernité et une grosse dose de fierté purement australienne.
Ce n’est pas tous les jours qu’on a le plaisir d’entendre sur scène le répertoire du légendaire et regretté Frank Zappa. Depuis l’annulation de la tournée du fils Dweezil Zappa, en 2020, pour cause de pandémie, c’était la disette de Zappa au Québec. Ce vendredi, c’est avec la formation The Bongos Furious que l’exigeant répertoire de Zappa nous était joué. Un ensemble de haute tenue avec des musiciens talentueux, dont l’excellent batteur Chad Wackerman, qui a joué avec Zappa de 1981 à 1988, et la jeune percussionniste Pauline Roberts, qui a admirablement rempli le difficile emploi de jouer les parties complexes de Ruth Underwood, la mythique vibraphoniste de Zappa.
C’est dans une salle Wilfrid-Pelletier pleine à craquer que Norah Jones nous a offert ce mardi une prestation impeccable, accompagnée d’une formation de haut niveau où les voix ont pris toutes leurs places sur les titres aux accents soul et pop de son dernier album Visions.
Stanley Clarke est un bassiste de jazz au style particulier avec une signature très personnelle. Ce soir, devant un théâtre Maisonneuve rempli, accompagné de jeunes musiciens talentueux, il a confirmé son statut de vedette de la basse avec panache, vigueur et grands gestes mais souvent au détriment de la musicalité.
Galaxie a offert Galaxie a offert une soirée dansante au son de son rock énergisant ce vendredi, dans un MTelus plein qui ondulait vigoureusement des hanches.
Après un premier lancement la semaine dernière au Pantoum de Québec, c’est au tour de Montréal d’avoir son lancement et de découvrir l’album J’ai pas d’visite de Sandra Contour et ses chansons intimistes avec une grande formation.