crédit photo: Brandon McClain
Articles associés
Pour cette dernière semaine avant les Fêtes, l’équipe de Sors-tu? vous proposera au cours des quatre prochains jours des articles en mode Rétrospective afin de revisiter ce qui a marqué notre année! Après nos albums préférés, nos spectacles coups de cœur et l’exposition numérique de la fine crème de nos photographes, nous voilà déjà rendus à la dernière journée de la série, mais non la moindre : les Sors-tu? Awards, premiers du nom. Alors, c’est plaisant de gagner la statuette d’un Grammy, d’un Félix ou bien d’un Lucien : mais rien ne vaut l’honneur de gagner un Mongrain©. Pour faire moins de jaloux qu’à l’habitude, cinq gagnants et gagnantes seront récompensés dans chaque catégorie! Petit indice : 2025 a été une année particulièrement exceptionnelle pour les QuébécoisEs.
Wednesday – le band américain, pas la série de Tim Burton sur Netflix – était de passage hier soir dans un Club Soda archi-complet. Le groupe de Asheville (c’est exact, sans le « N » au début, avec un « e » dans le milieu), en Caroline du Nord, est en tournée pour présenter son plus récent album, Bleeds, paru le 19 septembre dernier.
C’est le retour de la série « 20 shows à voir »! Pour la première fois depuis le début de l’été dernier. Et on reprend dans les bonnes habitudes avec un mois tout particulier : l’impitoyable mois de novembre. Entre Halloween et Noël, entre l’automne et l’hiver (pas techniquement, mais dans le ressenti), novembre n’est pas le mois le plus joyeux de toute la bande. Encore une bonne raison de combattre la dépression saisonnière avec une excellente sélection de 20 des spectacles les plus immanquables au Québec, autant dans le rock, la pop, ou l’alternatif, mais aussi dans l’humour, la danse ou le théâtre! On sait que le gris ne vous donne pas envie de sortir, l’appel du cocooning est plus fort. Mais essayez don’ un peu.
On le sait de plus en plus : la tournée, ça use. De plus en plus d’artistes s’ouvrent et partagent leurs états d’âme quant aux conditions de tournées. En tant que spectateurs, nous avons aussi la responsabilité d’être sensibles à cette réalité de moins en moins cachée.