Hier après-midi, à L’Anglicane, le temps s’est suspendu. Avant même que Valérie Milot n’entre sur scène, un message enregistré de Francis Reddy prépare doucement le public à plonger dans l’immensité. Nebulae, nébuleuse, annonce déjà la couleur : celle de l’univers, de la poussière d’étoiles, du mystère. Dès les premières secondes, la harpiste établit un pont entre l’astronomie et la musique, rappelant que ces deux mondes ne sont peut-être pas si éloignés.