Présentée sous le thème Danser en attendant (la fin du monde), cette 12e édition, qui se déroule du 26 au 29 mars, n’invite bien évidemment pas qu’à la danse, mais plutôt à se réapproprier l’espace social rendu fragile dans les dernières années à coup de politiques totalitaristes et de pandémies. Oui, c’est possible d’être punk comme ça sans grosse guitare ou de mosh-pit.