Louis-Jean Cormier est l’un des auteurs-compositeurs-interprètes les plus prolifiques du Québec.
Ancien leader du groupe indie rock Karkwa, Louis-Jean Cormier a débuté sa carrière solo à la suite d’une pause de durée indéterminée de son groupe, en 2012.
Son premier album solo, Le Treizième étage, est en nomination pour le prix Félix de l’Album de l’année – Choix de la critique et Album Rock de l’année, en vue du Gala de l’ADISQ 2013. En tout, Louis-Jean Cormier domine tous les autres artistes avec pas moins de 9 nominations.
Louis-Jean Cormier est devenu l’un des juges de la populaire émission La Voix, sur les ondes de TVA, à l’hiver 2014. Son deuxième album, Les Grandes artères, parait ensuite en 2015.
À L’Agora de Québec hier soir, le 25 août, c’était encore une fois l’heure de célébrer la francophonie sous toutes ses formes, mais surtout de rendre hommage à l’un des géants de la chanson française: Jean-Jacques Goldman. Dans une ambiance festive où l’odeur alléchante des food trucks se mêlait au bruit des conversations excitées, la scène s’est progressivement transformée en véritable terrain de jeu musical.
Sherbrooke peut se targuer d’avoir une vie culturelle vibrante, et une grande part de cette effervescence passe par le Théâtre Granada. Derrière sa programmation foisonnante, on retrouve ACVS, un organisme bien implanté qui orchestre aussi le festival Sherblues et les Concerts de la Cité. Ensemble, ce sont plus de 200 événements par année qui animent la ville. Pour l’automne, pas moins de 36 spectacles se déploieront sur la scène du Granada, avec déjà 27 supplémentaires prévus entre janvier et mai prochain. Et la saison n’a pas fini de se bonifier : une dizaine d’autres rendez-vous viendront s’ajouter au printemps 2026. Dans cette programmation dense, certains concerts sortent du lot et méritent d’être inscrits en lettres majuscules dans l’agenda des « sorteux » sherbrookois.
Du 7 au 10 août, Gaspé a vibré au rythme du Festival Musique du Bout du Monde, transformant la ville en un grand terrain de rencontre pour mélomanes, curieux-ses et amoureux-euses d’ambiances festives. Entre scènes nichées dans des lieux inattendus, paysages à couper le souffle et programmation riche en couleurs musicales, cette 21ᵉ édition a offert des moments uniques à vivre et à raconter. Nos correspondantes sur place, Daphnée Leroux-Maurais, Océane Leroux-Maurais et Sophie Bramucci, partagent avec nous leurs coups de cœur.
Pour habiter un nouveau lieu, lui transmettre rapidement une âme, rien ne vaut une expérience forte et marquante. C’est ce que le Festival en chanson de Petite-Vallée a compris. Et c’est ce qu’ils ont tenté de faire (et réussi) avec La Marée du forgeron jeudi soir : un grand spectacle collaboratif réunissant une dizaine d’artistes de quatre générations, ayant tous et toutes un lien très étroit avec Petite-Vallée.
Signe que l’été approche à grands pas : les premières programmations de partys de la Saint-Jean commencent à bourgeonner et éclore. Si votre fibre patriotique vibre déjà, dites-vous que la notre également. La fête du Saint patron des francophones donnera lieu comme d’habitude à un paquet de célébrations d’envergure. On vous en dit plus ici!
Le festival dédié à la chanson francophone d’hier et aujourd’hui est de retour pour une quatrième édition du 15 au 28 août pour quatre spectacles à grand déploiement à l’Agora du Port de Québec.
Le Théâtre de la Vieille-Forge de Petite-Vallée renaît enfin finalement (littéralement) de ses cendres avec une toute première saison estivale depuis l’incendie qui l’aura ravagé il y a huit ans. Y seront présentés un mélange de spectacles de musique, d’humour et de quelques événements de théâtre sur la très belle plage du village bordant l’estuaire du Saint-Laurent à compter de la Saint-Jean, meilleure occasion pour lancer les festivités.
Prendront d’assaut la scène principale de la Place des Festivals Jay Scott, Lou-Adriane Cassidy, P’tit Belliveau, la légende ivoirienne Tiken Jah Fakoly, Clara Luciani, le slameur Grand Corps Malade, en résidence au Québec toute l’année, et Salebarbes.
Il y a des soirs où les silences disent tout. Des soirs où une voix, une guitare et quelques confidences suffisent à faire vibrer chaque fibre d’un théâtre. Mardi soir, dans un Théâtre Petit Champlain qui affichait complet, c’était l’un de ceux-là. Louis-Jean Cormier, seul sur scène dans le cadre de sa tournée Les Entretoits, a livré un spectacle intime et vibrant, entrecoupé de souvenirs, de chansons chéries et de réflexions habitées. Un tête-à-tête avec le public, délicat et généreux, où la musique servait de fil conducteur à une conversation sensible avec la vie.
Le festival de Gaspé est de retour du 7 au 10 août pour une édition tournée vers la découverte et l’inclusion, alors que la majorité des spectacles seront consacrés à des artistes de la diversité culturelle, une intéressante et importante touche que l’on retrouve trop peu souvent dans les régions éloignées des grands centres.