On peut dire d’une comédie qu’elle est romantique, satirique, critique, noire, efficace, désarmante, d’une mécanique redoutablement intelligente, et encore. Mais, rien de cela ne correspond à Je préfère qu’on reste amis, dont c’était la première jeudi soir au Théâtre du Rideau Vert. Le pire que l’on puisse dire étant comédie légère, c’est malheureusement le cas.