Sebastien Tellier, excentrique (c’est un euphémisme) personnage français, présente à l’Amérique du Nord son plus jeune, « My God Is Blue ». L’album en question s’attire déjà des nuages de « What ze fuck », de par son concept grotesque. Mais, sachez-le, la force musicale de ce disque pardonnerait à peu près n’importe quel élan de démence..