Regroupant les sites de l’île Sainte-Hélène et de l’île Notre-Dame, le Parc Jean-Drapeau est un des plus beau espace vert de Montréal. Plusieurs festivals et activités y sont présentés chaque année (Piknic Électronik, Osheaga, Heavy MTL, etc.)
On était à îLESONIQ hier pour y voir quelques solides DJ sets. Manon Duval et Marie-Claire Denis étaient particulièrement proactives derrière les Kodaks, la preuve ci-bas!
La grande messe de l’électro à Montréal est de retour ce weekend! Programme chargé comme à l’habitude sur les trois scènes du festival, toutes récupérées d’Osheaga la semaine dernière, alors que la principale accueillait hier, le 9 août, un John Summit pas au sommet (lol) de son art à la fin d’une journée surtout marquée par une déception généralisée quant à Steve Aoki.
La journée de canicule attendue en conclusion de cette édition n’aura finalement pas eu lieu, probablement au plaisir de tous, ou au moins minimalement de Havane, « 9 ans, mais 10 dans 19 jours ». Olivia Rodrigo, qui se retrouvait en charge de clôturer la soirée en grand, s’adresse, on ne se le cachera pas, principalement à un public de jeunes femmes, et on a donc décidé, pour l’occasion, de s’adjoindre les services de cette stagiaire d’un jour pour mieux nous aiguiller. Son retour, et le mien, ci-dessous!
Voici quelques-unes des meilleures images prises par nos précieux collaborateurs Luna Choquette-Loranger, Marie-Claire Denis, Jesse Di Meo, Nadia Davoli, Jillian Goldenberg et Pierre Langlois au cours des trois derniers jours.
La dernière journée de la 18e édition du festival OSHEAGA, ce dimanche 3 août 2025, s’est terminée sous le signe de la diversité musicale et des coups de cœur inattendus. Bien sûr, tout le monde attendait Olivia Rodrigo, Cage The Elephant et The Beaches, et ça, le collègue Mathieu Aubre vous en parlera dans son compte-rendu. Mais les pulsations industrielles de Debby Friday, l’exubérante relecture du turntablism de Turbine, le charisme folk-rock de Ruby Waters et l’élégance indie-pop de Royel Otis ont aussi contribué à fournir aux festivaliers une finale riche en contrastes et en intensité.
Quelques heures avant leur tout premier spectacle à Montréal, sur la Scène de la Rivière du festival Osheaga, le duo australien Royel Otis a pris le temps de discuter avec nous en coulisses. Décontractés, drôles et franchement lucides sur leur ascension fulgurante, Royel Maddell et Otis Pavlovic ont parlé de leur parcours, de leur nouveau disque, du poids des reprises… et des effets secondaires de la célébrité naissante. Compte-rendu d’une entrevue empreinte de franchise et de dérision.
Le soleil plombait sur la Scène Vallée d’Osheaga en ce samedi 2 août 2025 quand Whitney a offert l’une des performances les plus élégamment décontractées de la journée. Quelques heures après leur prestation, les deux têtes pensantes du projet — Julien Ehrlich (chant, batterie) et Max Kakacek (guitare) — ont pris le temps de discuter avec nous en coulisses. Ce fut une conversation généreuse, entre anecdotes savoureuses, confidences de studio et réflexions sincères sur leur processus créatif.
Seconde journée du festival, et certainement ma performance la plus attendue à l’horaire : celle de l’incontournable Tyler, the Creator. Mon parcours de la journée sera justement surtout orienté autour des musiques dites urbaines (j’haï cette expression là), avec quelques performances de DJ et d’autres rappeurs. Le retour ici, avec également celui de ma collègue Geneviève à consulter dès maintenant!
Déambulant de scène en scène pour lécher la vitrine organique d’une musique ultra-connectée que Osheaga offrait aux festivaliers samedi, je retiens surtout la performance de BéLi, artiste électro-pop audacieuse qu’il faut absolument voir sur scène, celle de TV on the Radio, incarnation d’une perfection scénique mêlant sons et images, et enfin celle de bbno$, qui m’a offert un plaisir aussi inattendu que réjouissant avec son hip-hop joyeusement déjanté.
L’édition 2025 d’Osheaga s’ammorçait hier, le 1er août, avec une journée somme toute plus tranquille que les prochaines, mais ça ne veut pas non plus dire que c’était plate pour autant! Fidèle à son habitude, l’équipe de programmation est allé dénicher quelques pépites « émergentes » (bon oui, avec parfois des millions d’auditeurs, mais vous comprenez l’idée) en sachant du même coup répondre à la demande d’un public parfois plus jeune et souvent plus branché (autant dans leur style que sur internet, TikTok oblige).