La Maison Symphonique de Montréal sert de nouveau domicile à l’Orchestre Symphonique de Montréal depuis l’automne 2011.
L’Orchestre Métropolitain, I Musici de Montréal et Les Violons du Roy en font également leur lieu de concert. La Maison Symphonique propose également quelques concerts de musique populaire.
Depuis son inauguration, La Maison Symphonique de Montréal représente la plus grande salle de la Place des Arts de Montréal, avec plus de 2000 sièges (selon les configurations) pour les spectateurs.
Plus qu’un spectacle de Noël, ce concert est une rencontre entre les genres et les cultures. Le trio Taurey Butler, Mélissa Bédard et Kim Richardson apportent une note de jazz, Michel Rivard et le violoniste David Boulanger, des touches traditionnelles québécoises, tandis que la soprano Elisabeth St-Gelain fait le pont entre sa culture innue et la tradition classique portée par le Chœur et l’Orchestre Métropolitain. Sous la brillante direction de Yannick Nézet-Séguin, les arrangements d’Antoine Gratton unifient les souvenirs de tous ces mondes musicaux qui font la singularité de la culture québécoise.
Le Festival International de Jazz de Montréal révèle une première série de spectacles annoncés en vue de sa 45e édition, qui se tiendra du 26 juin au 5 juillet 2025. Des artistes tels que Men I Trust, Madlib, Arooj Aftab, Samara Joy, Madeleine Peyroux et plusieurs autres seront de la partie, soit en salle ou en spectacle extérieur gratuit.
La Maison symphonique de Montréal a vibré jeudi soir au rythme d’une soirée unique dédiée à Robert Charlebois pour célébrer ses 80 ans. Intitulé Célébration Grandiose avec l’OSM, ce concert a offert une expérience musicale où certains classiques du géant de la chanson québécoise ont été réinventés dans une version symphonique réussie. La première de trois représentations à guichets fermés, l’événement a captivé le public par la qualité de sa réalisation et l’énergie de l’artiste.
La pianiste Alexandra Stréliski, qui peut désormais se passer de présentation, était de passage ce mardi à la Maison Symphonique de Montréal dans le cadre du Festival International de Jazz. Notre photographe Maureen Sassi s’y trouvait. Retour en photos sur l’évènement.
On le répète souvent, mais c’est une fois de plus le cas : le Festival international de Jazz de Montréal (FIJM) ne s’adresse pas uniquement aux férus de jazz. On vous propose ici une demi-douzaine d’artistes qui défient les frontières du jazz à ne pas manquer lors de la 44e et prochaine édition du FIJM, qui se tiendra du 27 juin au 6 juillet prochains.
L’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) vient de dévoiler la programmation de sa 91e saison. L’Orchestre renouvelle notamment les concerts POP, les ciné-concerts et les concerts pour la jeunesse, en plus d’introduire une nouvelle formule en 5 à 7. Des artistes du Bénin, de Russie, des Pays-Bas et du reste du Canada seront invités à fouler les planches de la Maison symphonique tout au long de la saison.
Sortez les trompettes, l’Orchestre de Paris est en ville. L’ensemble mené par la sensation finlandaise Klaus Mäkelä a interprété mardi Prélude à l’Après-midi d’un faune de Debussy, le Concerto pour piano no 2 en do mineur de Rachmaninov et L’Oiseau de feu de Stravinsky. Rien que ça. Une soirée maîtrisée et marquante de la part de l’Orchestre, qui n’avait pas foulé les terres du continent nord-américain depuis plus de 20 ans.
L’Orchestre symphonique de Montréal donnait la semaine dernière deux représentations de la Quatrième symphonie du compositeur autrichien Anton Bruckner. La pièce In the Half-Light, de la compositrice canadienne actuelle Zosha Di Castri, était présentée plus tôt dans la soirée.
La chanteuse Ute Lemper s’est arrêtée ce soir à la Maison Symphonique en compagnie de l’Orchestre FILMharmonique pour présenter un spectacle intitulé De Berlin à Broadway qui traverse sa carrière, entre les classiques de Kurt Weil et les titres de comédies musicales américaines. Il fallait également ajouter une étape par Paris car la chanteuse a interprété quelques grands classiques de la chansons française, ainsi que Buenos Aires pour quelques airs de tango.
C’est toujours un plaisir de retrouver Brad Mehldau, cette fois-ci en solo. Quand c’est à la Maison symphonique de Montréal, on ajoute la chaleur du lieu riche en bois avec une acoustique de rêve. Mehldau est en forme et très lyrique, présentant des versions très inspirées de titres majoritairement pop. Sans doute enchanté par le son de la salle et l’accueil reçu, c’est après quatre rappels qu’il quitte la scène pour de bon!