12 artistes québécois qui ont traversé les frontières avec succès
Dans l’industrie musicale, on le dit, on le sait, Montréal est un incubateur de talents. Mais dans la réalité, qui veut de nos artistes au-delà des frontières ? Comment et où la relève s’exporte ? Quelle est sa résonnance ailleurs ? Certains assument avoir des débuts difficiles et souvent coûteux à l’étranger, d’autres sont reçus comme des princes. Coup d’oeil sur quelques groupes et artistes de la scène émergente qui y sont parvenus.
Dead Obies, Loud Lary Ajust
En France, on s’est intéressé au cas Dead Obies d’un point de vue linguistique, sous le prisme du procès médiatique intenté pour cause de communication franglaise. Puis la musique a triomphé, c’était en octobre dernier lors de leur première tournée dans l’Hexagone.
Les familles hip hop française et québécoise ont toujours fait preuve de respect mutuel et la réputation de notre rap se porte bien outre atlantique. Le constat est le même pour Loud Lary Ajust, resté au pays mais révélé dans la foulée. Les deux ont fait l’objet l’hiver dernier de plusieurs articles, émissions de radio et capsules télévisées.
Pierre Kwenders
Dans le même avion que Dead Obies en partance pour la France, il y avait aussi l’autre poulain de Bonsound : Pierre Kwenders. Les stations Radio Nova et RFI sont littéralement tombées en amour avec Le dernier empereur bantou, premier album de l’artiste.
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