Portraits de Petite-Vallée 2016 | Charles Robert

Du 30 juin au 9 juillet 2016, le Festival en chanson de Petite-Vallée bat son plein. Notre collaboratrice Mélissa Trépanier s’y trouve, et vous propose une série de 8 portraits des artistes découverts sur place.  Premier portrait : Charles Robert.

Charles Robert

Nom : Charles Robert

Âge : 28 ans

Style musical : Pop-électro


 

  • De quelle région es-tu originaire?

De Sorel-Tracy, où j’ai grandi.

  • Si tu devais faire découvrir un seul endroit dans cette région, quel serait-il?

Une « ride » de kayak aux îles de Sorel, qui est une réserve de la biosphère. C’est un endroit merveilleux avec une faune et flore diversifiées.

  • Pourquoi avoir tenté l’expérience de Petite-Vallée?

J’accompagnais Dumas l’an passé en tournée. On est venu ici en faisait le ROSEQ et j’ai été flabbergasté en venant ici, c’est le mot! Je me suis dit qu’il fallait absolument que je revienne. Je ne pensais pas revenir si vite! Je savais que le festival avait une très belle réputation. J’ai aussi plein d’amis qui y ont participé auparavant et qui m’ont dit que c’était incroyable.

  • En musique, quelle est ta source d’inspiration?

Beaucoup d’inspirations diverses. Une de mes plus grandes influences à vie est Radiohead. Maintenant je m’inspire plus dans l’électro. Chet Faker est un musicien que j’adore, que je trouve incroyable.

  • Quel concert t’a le plus marqué?

Portishead live au Quai Jacques-Cartier à Montréal, il y a quatre ou cinq ans. C’est le show qui sonnait le plus que je n’ai jamais entendu de ma vie, même en extérieur! Portishead est un groupe que j’adore. Les musiciens sont juste incroyables. Super perfo!

  • Quel serait ta devise?

Un poème qui m’a marqué de Marianne Williamson et que Nelson Mandela a souvent repris : « Our deepest fear is not that we are inadequate. Our deepest fear is that we are powerful beyond measure ». Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte. Notre peur la plus profonde est d’être plus grand nature.

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