Victor Perrin
Adjoint à la rédaction
Mélomane depuis que ma mère m'a initié tout jeune à Genesis en écoutant leurs cassettes dans sa vieille Daihatsu, je n'ai jamais cessé de graviter autour de ce milieu musical. Depuis, j'essaie au mieux d'exprimer les sons par les mots en tant qu'adjoint à la rédaction pour Sors-tu.ca.
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Photos de Victor Perrin
Kyan Khojandi
Paléo Festival Nyon
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Les Cowboys Fringants
Paléo Festival Nyon
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Ada Lea
Deux ans après leur dernière venue à Montréal dans le cadre du festival Osheaga, alt-J faisait escale dans la toute nouvelle Place Bell de Laval. Premier spectacle joué dans l’antre de l’équipe du Rocket, le trio britannique a réussi un concert presque parfait dans une salle tout à fait adaptée.
L’été s’en vient en Australie. Et l’un de ses dignes représentants était au Corona ce vendredi pour perpétuer ces douces températures automnales auxquelles s’habitue (trop) Montréal. Le temps d’un soir, Vance Joy et ses sonorités chaleureuses a certainement retardé la venue de l’hiver.
Du haut de son double mètre, Alex Cameron ne passe donc pas inaperçu sur scène. Surtout dans ce Ritz confiné qui ne lui laisse guère de place pour se mouvoir. Pourtant, son flegme est charmant.
Une petite silhouette, bonnet vissé sur la tête, s’avance timidement sur la scène. Quelques lampions disposés le long d’un fil électrique suspendu forment un triangle dans lequel s’engouffre une boule d’énergie prénommée Tash Sultana.
Du rafraichissant Brushfire Fairytales en 2001 à From Here to Now to You en 2013, le chanteur américain a réussi à abolir, à son échelle, la paranoïa dans laquelle vit le monde d’aujourd’hui en imposant sa griffe, celle d’une cool attitude.
Poursuivre le chemin tracé depuis l’acclamé Lost In A Dream en 2014 n’était pas une mince affaire pour The War On Drugs. Pourtant, comme un bon vin, le collectif de Philadelphie se bonifie avec le temps.
Si Montreux n’est pas la plus grande ville de Suisse, la cité iconique de la Riviera mue durant l’année pour accueillir le Jazz Festival, occupant ainsi les rives du lac depuis plus de cinquante ans. Et c’est à chaque première quinzaine de juillet que se mêle des générations venues parfois de loin pour admirer des artistes de renom dans un cadre paysager sublime.
La frénésie autour du projet de Day Wave a émergée si vite que l’artiste américain s’est retrouvé à s’immiscer dans de prestigieuses playlists sur les plateformes numériques. Son titre Drag culmine en effet à plus du million de vue, mais le Ritz n’est pas aussi remplit malgré une belle performance.
Une voix grave et parfois enraillée. C’est ce qui caractérise John Moreland, ce chanteur établi à Tulsa en Oklahoma. Venu au Ritz PDB dans le cadre de sa tournée nord-américaine, l’Américain a emballé un nombreux public par ses qualités vocales hors du commun et un sens de l’écriture digne des plus grands.
Derrière ses six cordes, Leeroy Stagger a présenté pendant une heure et demi une grande partie son dernier disque dans le cadre de son The Love Versus Tour à travers le pays.