Marc-André Mongrain
Rédacteur en chef
Marc-André Mongrain est un chroniqueur, critique et journaliste actif dans le domaine culturel depuis 2002.
Ancien scribe pour l'hebdomadaire Voir et journaliste pour le quotidien Le Droit, Marc-André Mongrain a fait ses classes dans les médias traditionnels avant de faire le saut vers les plateformes électroniques en 2008, et à la radio d’ICI Radio-Canada Première et ICI Musique depuis 2016.
Fondateur et rédacteur en chef de Sors-tu? (qui rejoint jusqu'à 150 000 lecteurs par mois), il compte plus de 5000 articles publiés en ligne, en plus de gérer une équipe de plus de 30 collaborateurs, rédacteurs et photographes.
Appelé à prendre part à de multiples jurys de l'industrie musicale (ADISQ, Francouvertes, GAMIQ, Polaris, Syli d'Or, Emergenza, UQAM en Spectacles) et à couvrir de nombreux festivals ici et ailleurs (Coachella, SXSW, Lollapalooza, Iceland Airwaves, Boston Calling, Outside Lands, Acadie Rock), Marc-André Mongrain est un passionné de musique, un observateur culturel assidu, et une référence dans le milieu du spectacle.
Pour rejoindre Marc-André: znzbatenva@fbefgh.pn
Photos de Marc-André Mongrain
Larynx
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Pendant que certains festivals se plaignent qu’on leur reproche l’absence de parité de leur programmation — voire même l’absence de femmes carrément — Osheaga n’a visiblement aucun problème à remplir le Parc Jean-Drapeau avec une affiche généreuse en artistes féminines (et non-binaires). En ce premier jour de l’édition 2024, le parcours qui s’est dessiné pour l’auteur de ces lignes s’est avéré presque entièrement féminin… sans même faire d’effort.
Avec plus d’une centaine d’artistes à l’affiche, dont plusieurs en tournée, c’est bien normal : la programmation d’Osheaga est toujours « sujette à changements ». Voici les artistes initialement annoncés à la programmation qui ont malheureusement dû déclarer forfait, et les nouveaux artistes qui les remplaceront.
Les fans québécois de Sum 41 seront déçus d’apprendre que le groupe punk-pop canadien doit annuler les spectacles de sa tournée d’adieu prévus dans la provice au début du mois d’août en raison d’une blessure au dos d’un membre du groupe.
Avec son projet instrumental Axlaustade, Dumas nous dévoilait une facette de sa personnalité musicale insoupçonnée : son amour pour le shoegaze et le rock alternatif des années 1990, notamment les Smashing Pumpkins. Dans le cadre de la série balado Big Shiny Tounes, nous l’avons invité à explorer ce rapport nostalgique au groupe de Billy Corgan, particulièrement à l’album Siamese Dreams, qui fêtait ses 30 ans l’an passé et qui l’a profondément marqué.
De la rare visite dimanche soir à l’Esco alors que l’explosif duo rock brésilo-danois The Courettes était de passage afin de faire résonner leur mélange parfait entre le rock garage, le surf rock, le doo-wop, le mouvement Girl Group des années 1960 et le Wall of Sound. En plus, c’était les trucculents Deuxluxes en première partie! Notre photographe Morgane Dambacher s’y trouvait. Retour en photos sur la prestation haute en couleur!
« M’a te prendre 1 hot-dog, 1 frite, 1 rousse pis 30 minutes de rock déjanté de Larynx, steplait. Sur la terrasse, idéalement. »
Le phénomène mondial Zouhair Bahaoui sera de passage pour la première fois en Amérique du Nord lors du Festival Orientalys. L’artiste se produira le samedi 10 août 2024 à 21h30 au Quai de l’horloge dans le Vieux-Port de Montréal.
Pour la dernière soirée de sa 30e édition, le Bluesfest d’Ottawa accueillait sur les Plaines Lebreton le rappeur new-yorkais Nas. Le légendaire pionnier du East Coast rap a servi une prestation courte mais solide, sans fioritures.
Tout ce qui est immensément populaire et qui devient out redeviendra un jour populaire. Ainsi fonctionne l’inébranlable force de la nostalgie. On en avait la preuve sur les Plaines Lebreton samedi soir, alors que Mötley Crüe et The Tea Party nous ont respectivement offert des leçons de nostalgie rock’n’roll des années 1980 et 1990.
Le Bluesfest d’Ottawa jouit d’une configuration de site plutôt enviable qui fait en sorte que parfois, tout le monde converge vers la scène principale pour un artiste d’envergure. Mais qu’il est aussi possible de butiner allègrement d’un spectacle à l’autre pour tenter sa chance à gauche, faire une découverte à droite, et tripper en masse ailleurs. C’est ce qu’on a fait en ce vendredi soir sous le signe du country mais pas que.